segunda-feira, 4 de março de 2013

SARPEDON, e o triunfo heróico sobre a morte nos mitos de ressurreição solar, por arturjotaef.

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Figura 1: “Morte de Sarpedon” de Eufrónios[1]. Composição em cores funéreas de um dos mais belos e dramáticos vasos gregos em que Hermes preside à transladação do corpo de Sarpedon, uma possível variante do mito de Apolo Scotaios e, por isso, irmão gémeo de Hermes.

Numa das mais belas pinturas dum vaso grego da autoria de Eufrónio, que foi a obra-prima do "Metropolitan Museum of Art" de Nova Iorque até 2006 estando actualmente no museu romano de Villa Giulia após ter sido devolvida ao estado italiano, assistimos ao enterro de Sarpedon numa dramática encenação que muito se parece com “ deposição do corpo de Cristo no túmulo após descida da cruz.

O tratamento tragicamente belo e majestoso que Eufrónio deu à beleza incomparável dos estertores da morte num corpo jovem e sensual segue de perto o clima deste episódio na Ilíada descrito de acordo com o ideal homérico de que o Herói não sucumbe aos horrores da morte porque lutou pela honra de dum fim glorioso e triunfal.

Na mitologia grega, existem dois personagens com o nome Sarpédon, ambos filhos de Zeus e reis da Lícia, reportando-se o mais recente à época heróica, homérica e lendária da guerra de Tróia e outro mais arcaico, reportando-se a época mítica da talassocracia minóica.

A variante troiana de Sarpedon não deixa de ser interessante precisamente pelo que ela contem de arcaizante.

Malheureux que je suis! dit-il, l'ordre du Destin est que Sarpédon, celui de tous les mortels qui est le plus cher à mon cœur, périsse de la main de Patrocle fils de Ménétius. Diverses pensées se succedent dans mon esprit; mon âme est partagée. Ravirai-je mon fils à ce sanglant combat? le trans porterai-je dans la fertile Lycie? ou souffrirai-je que Sarpédon soit précipité dans la nuit du tombeau par le fils de Ménétius? Cruel fils de Saturne, quelle parole est sortie de ta bouche! lui répond Junon, la reine des déesses. (Traduction par M. Gin, Pierre Louis Claude).

«Voudrais-tu de nouveau délivrer Sarpédon

De la mort ? fais-le donc ; mais redoute le blâme

De tous les Immortels. Grave au fond de ton âme

Ces mots : dans son palais si tu veux le cacher,

Les autres Dieux aussi prétendront arracher

Les fils qui leur sont chers à ces rudes batailles,

Car de nombreux guerriers luttant sous ces murailles

Sortent d'un sang divin. Malgré tout ton amour

Pour Sarpédon, tu dois permettre qu'en ce jour

Son destin s'accomplisse en entier ; que la vie

Lui soit dans le combat par Patrocle ravie.

Quand ses yeux seront clos aux rayons du soleil,

Donne l'ordre à la Mort ainsi qu'au doux Sommeil

D'emporter ce héros sur les fertiles terres

De la Lycie ; et là, ses amis et ses frères,

En souvenir pieux d'un trépas noble et beau,

Pourront, en élevant un superbe tombeau

A ses mânes calmés, y joindre une colonne,

Suprême honneur pour ceux que la Parque moissonne. »

(Traduction par J.C. Barbier.) (…)

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Figura 2: Hipnos & Tanatos no enterro de Sarpédão. Desenho de Eduard Gerhard.

Elle dit. En l'honneur de son fils dévoué à la mort sous les coups du compagnon d'Achille, dans les fertiles plaines de Troie, loin de sa patrie, le pere des dieux et des hommes, cédant à l'ordre immuable du Destin, verse sur la terre une pluie de sang. Cependant les deux héros marchent à grands pas l'un contre l'autre. Patrocle frappe de son javelot Thrasymede, l'écuyer de Sarpédon: la pointe aiguë s'enfonce dans ses entrailles; l'âme abandonne son corps. Sarpédon lance son javelot; il s'égare, perce l'épaule droite du cheval Pédasus: il tombe, poussant d'affreux hennissements; sa vie s'exhale dans les airs. Les immortels coursiers, attelés avec lui au char d'Achille, fuient effrayés. Étendu sur la poussiere, Pédasus ne soutient plus le joug; le brancard est brisé; les rênes se confondent. Saisissant d'une main robuste sa longue épée, le vaillant Automédon se hâte de couper les traits, de réunir les rênes, de rassembler les immortels coursiers. Sarpédon et Patrocle s'élancent de nouveau l'un sur l'autre. Le fils de Jupiter, Sarpédon, lance le premier son javelot: il s'égare; la pointe aiguë rase l'épaule du fils de Menétius, sans la toucher. L'arme meurtriere n'échappe pas en vain de la main du compagnon d'Achille; elle atteint Sarpédon dans la poitrine: les membranes nerveuses qui enveloppent le cœur sont déchirées; il tombe, semblable à un chêne, à un peuplier, à un pin à la tige élevée, que les pesantes cognées des bucherons ont abattu au sommet des montagnes, qu'ils destinent à former l'assemblage d'un grand navire: tel Sarpédon, frémissant de rage, tombe étendu devant son char et ses coursiers; ses mains pressent la poussiere qu'il arrose de son sang. Ainsi un taureau vigoureux, qu'un lion a saisi au centre d'un troupeau, tombe en mugissant; ses membres sanglants palpitent sous les terribles mâchoires du roi des forêts: tel le chef des Lyciens, écumant de fureur, tombe sous les coups de Patrocle. Expirant, il appelle Glaucus, son cher compagnon; et d'une voix mourante:

Mon cher Glaucus, lui dit-il, accoutumé à combattre les héros, à t'exposer avec moi aux périls de la guerre, c'est maintenant que l'ennemi doit éprouver toute la force de ton bras, tous les effets de ton intrépide courage. Je satisfais tes vœux les plus ardents; affronte les dangers; hâte-toi d'appeller les chefs des Lyciens; cours dans les rangs; ordonne à tous d'environner le corps de Sarpédon, de le défendre des outrages de l'ennemi, de combattre avec intrépidité. L'opprobre seroit ton partage, une honte éternelle souilleroit ton nom dans la mémoire des hommes, si, mourant glorieusement, ayant porté la flamme dans les vaisseaux des Grecs, ils s'emparoient de mes armes. (…)

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Aussitôt Jupiter, appelant Apollon,

Lui dit : « Mon fils, va, cours, délivre Sarpédon ;

Que soudain, par tes soins, sa dépouille enlevée,

Couverte de parfums, dans le fleuve lavée,

Soit par toi confiée au Sommeil, à la Mort ;

Que ces frères jumeaux s'emparent de son corps;

Que par eux transporté dans la riche Lycie,

Il obtienne un tombeau que lui doit sa patrie,

Et qu'il soit enfermé, de soins environné,

Dans ce tombeau sacré d'une colonne orné.

Reçu par ses parents et pleuré par ses frères,

Qu'il y reçoive, enfin, les honneurs funéraires. »

A l'ordre de son père aussitôt Apollon,

S'empresse d'obéir, enlève Sarpédon,

Le transporte sanglant sur les rives du fleuve,

Et de son eau limpide il le lave, il l'abreuve,

Entoure d'un manteau son corps inanimé,

Et le livre aux Jumeaux quand il l'a parfumé ;

Et ces divinités, volant vers la Lycie,

Le font ensevelir dans sa riche patrie.

(Traduction nouvelle en vers français par V.Q. Thouron Paris 1870)

Desde logo porque foi por Tánatos & Hipnos que o cadáver de Sarpedon foi transportado pelo céu para a Lícia, quando, pelo tipo de morte violenta, magistralmente descrita por Homero, deveriam ter sido as Keres a fazerem tal trabalho mortuário. De facto:

En la mitología griega, Tánatos (en griego Thánatos, ‘muerte’) era la personificación de la muerte no violenta. Su toque era suave, como el de su hermano gemelo Hipnos, el sueño. La muerte violenta era el dominio de sus hermanas amantes de la sangre, las Keres, asiduas al campo de batalla.

Obviamente que podemos suspeitar que as Keres eram reservadas para as mortes violentas de tipo criminoso e que a morte violenta honrosa era do âmbito dos poderes de Apolo. Por outro lado, o herói às mãos do qual morreu era filho de Mene-tius, ou seja, literalmente do deus Mene, ou seja, Minos, irmão mítico de Sarpédon. Obviamente que estamos perante uma forma mal velada de sobreposição de estratos míticos arcaicos de diversas proveniências orais no contexto retórico da descrição da lenda troiana, quiçá porque nela tenha participado um príncipe lídio com o nome de Sarpédon, facto que fez com os alguns gregos o tenham vestissem com as roupagens semi-lendárias dos personagens da época minóica.

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Figura 3: O enterro de Eteocles & Polunices (Urna funerária etrusca def cerca do 4º século A. C). Nesta representação dum sarcófago etrusco Tánatos, a morte alada, ocupa o lugar de Hermes Psicopompo, a menos que estejamos perante uma variante alada deste deus de transporte das almas!

Então, podemos suspeitar que nesta fase da lenda da “guerra de Tróia” o mito subjacente já tinha sido revisto à luz da mitologia olímpica de forma a poder fazer parte das lendas remanejadas pelos homéricos.

Porém, a distância temporal entre a cultura subjacente a estes mitos foi seguramente superior a três gerações porque deve ser de perto de um milénio a distância que separa a transição da civilização minóica para a missénica e a época do fenómeno dos povos do mar” em que o mito da “guerra de Tróia” se inscreve.

 

Ver: Troia I & II (***)

 

Ora bem, um filho de Zeus na Guerra de Tróia é tão verosímil como a deusa Aurora casada com um príncipe troiano. Então, é mais do que óbvio que estamos em presença de uma evocação de arcaicos mitos de “morte e ressurreição” a propósito de ritos fúnebres em honra de lendários heróis da guerra de Tróia. Reposta assim a linha de ancestrais correlações com os mitos solares, somos levados a ter que repensar o mito histórico da morte de Sarpédon, cuja iconografia clássica tantas semelhanças revelam com a tragédia de Memnon, seguramente também uma sugestão da época minóica.

Neste dramático processo de evocação em que o mito se confunde com o histórico é difícil saber se estamos diante dum mecanismo delirante de tipo psicanalítico se na fase cultural da racionalização na forma duma pungente sublimação dos medos do passado por intermédio duma normalização pacificadora do mito na forma duma lendária historicidade.

De qualquer modo, quem pense que a iconografia dos anjos foi invenção dos cristãos muito se engana pois os deuses alados como Tánatos & Hipnos precederam esta fé e mesmo o paganismo helenista que os copiou das tradições orientais. A mitologia antiga manifesta-se de forma relativamente evolutiva começando na fase do esboço animalista, passando à fase da adoração explícita dos animais e depois às fases difusas de tipo quimérico e zoo/antropomórficas para acabar nas alegorias que abririam o cominho aos mitos metafóricos das ideias gerais sem os quais não teria sido possível a teologia sobre a qual se fundou a metafísica de que nasceria a filosofia e mais tarde a ciência! Sendo assim, a lenda de Sarpedon deve estar entre o mistério da paixão de Cristo e um antigo mito de morte e ressurreição solar. Desde logo porque se trata dum filho do deus da luz do céu, que era Zeus e, logo, uma evolução teológica dum arcaico deus do fogo. Na verdade outra versão do mito de Sarpedon, seguramente mais arcaico porque reportado à época minóica, refere-o Como o primeiro filho que Zeus teve com a Bela Europa, irmão de Minos e Radamanto, os três juízos dos infernos. O nome de Radamanto ficou perpetuado no da cidade cretense de Rethymnon (Rethymno or Rethimno).

Notar que no mito de Zeus cretense a deus Mãe tem o nome de Reia, que terá sido então originalmente a deusa *Urka / Urash, ou Ur-Ki.

Se levantó contra el rey Asterion y entonces fue desterrado por Minos, buscó el refugio con su tío, el rey Cílix.

Depois porque teve como mãe *Urka, a deusa da lua, e Larwana a dama e Sr.ª dos mortos.

Radamanto <= Ura-the-Ma-Antu > Rethy-Mino > Rethimno.

Laodameia < La®aw-Dameia < Larwa(na) Damaeia, a Dama dos mortos.              Ou < Rotha Mehia < Urka-kima > Ka-Ur-Mekia=> Artemisa.

Pedon = ground, earth (…); chthonos (…).2. Of a particular site, esp. of sacred ground (poet. and used only in sg.).

Sarx = flesh, Lat. caro, (…) = the flesh or muscles of the body (…).

Sar-pedon = Sar-Pedon. Lit. “corpo morto” ou “carne enterrada!”

< Kar Piton, ou seja, Eros, o deus cobra como Fanes, filho da cobra mãe!

Sarpe-don = Serpa-Dan, Lit. Dan, Dionísio, o filho da Serpa

< Ker-ka > *Kertu, a deusa mãe das cobras cretenses!

Sabemos que Shar > Eros, foi filho de Istar e ficamos a saber que nos cultos fúnebres da Deusa Mãe Artemisa se teria adorado uma «cobra» Piton, quem sabe se por semelhança com os misteriosos embriões dos abortos precoces espontâneos, como símbolo dos espantosos efeitos do amor sobre as mulheres!

Então, Kur-Ki-Antu, era o corpo enterrado no seio da terrível Deusa Mãe Terra, Antu dos sumérios e a Mut/Tauret/Nut do céu nocturno do Egípcios, que devorava o próprio filho ao «por do sol» para o parir com a aurora!

*Kar ch(i)thon(os), Kar, o filho da Terra Mãe

> Erictonio, o filho de Atena, sublimação jónica de Anat/Antu.

< Shaur Phiton, lit.o Kouro Piton”, a cobra solar, alada como Eros.

> Sarpedon < Ker-ki-tan < Kertu-tan, a cobra macho de Kartu.

É evidente que *Kur-Kiantu significou a forma mais arcaica de expressão do conceito de morte enquanto uma forma de crepúsculo em que “o sol regressa ao seio materno da Terra Mãe, *Kertu, a deusa das cobras cretenses” ou seja, o “sol-posto” adormecido por Hipnos (< Kiphi-anus) e levado para debaixo da terra pela cobra mítica da morte e ressurreição solar na variante semântica de Tánatos.

*Tan Attis < Thanatos < Ki Anat u < Ki Antu.

                                       < Thanat-ush, lit. «filho de Thanat

> Dan-at, lit esposa de (Posei-)Dan < Dian(-et) > Thianiti > Tanit!

Ora, espantosamente, ou nem tanto, At + Tan + ish = *Tan Atis, lit. “a cobra Atis”, variante elíptica de Adónis e seguramente a mesma de “Adão e Eva” = Tánatos!

Egipt. Anta < Cald. Antu < An(i)tu < Anat > At-An > Atena.

                                                  + Ki  > Thianit(u) > Tianita de Loulé

> Tanit.

Sarpedón conquistó a los termiles, y gobernó encima de ellos; a su reino se nombró Licia, que peleó en la Guerra de Troya en contra de los griegos, era el comandante de uno de los cinco ejércitos de los troyanos. (...)

Termiles < Ker-Mil-esh < Kermur ó «Famoiros».

Importa dar conta que o nome de Sarpedón tem claras ressonâncias com o deus egípcio Hórus Harpócrates, o deus menino filho de Osíris na tríade do deus de morte e ressurreição solar do Nilo. Durante a época ptolemaica Osíris era Serapis. Supostamente o nome copta deste deus seria Harpocrates seria Horpakhered. No entanto, seria tomar os gregos ptolemaicos como muito ignorantes e de ouvido muito duro se as adaptações que fizeram dos nomes egípcios à língua grega não tivessem tido alguma correspondência com a fonética real. Por outro lado, na mitologia grega, Karpos (em latim: Carpus, literalmente "fruta") era um jovem renomado por sua beleza.

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Figura 4: Harpócrates.

Harpócrates era um deus da mitologia egípcia, que encarnava o deus Hórus enquanto criança. O seu nome egípcio era Horpakhered ("Horus Menino" ou "Hórus Criança"), sendo Harpócrates a forma helenizada do seu nome. Era filho de Osíris e de Ísis. Foi concebido postumamente, uma vez que o seu pai já tinha falecido. A concepção foi possível graças ao recurso por parte de Ísis à magia. Teve que ser escondido pela sua mãe nos pântanos do Delta para protegê-lo do seu tio, o Sete, que tinha sido o líder do plano que conduziu à morte de Osíris. O deus alcançou bastante popularidade durante a Época Baixa. Durante a era ptolemaica foi visto como o filho de Serápis e de Ísis. Era representado como um menino nu, usando na cabeça a coroa dupla (coroa que era o resultado da junção da coroa do Alto Egipto e da coroa do Baixo Egipto) ou a coroa hemhem (coroa que correspondia a três coroas atef juntas). Tinha a característica trança lateral das crianças egípcias, que em alguns casos saía da coroa e se encontrava presa na orelha. – Wikipédia, a enciclopédia livre.

Era filho de Zéfiro (o vento oeste) e Clóris (A Primavera, ou a primeira da nova vegetação), formando uma metáfora natural - o vento oeste anuncia o florescer da primavera que depois das flores irá trazer os frutos do Estio. Carpo era também uma das Horas, primitivamente uma deusa tripla significando as arcaicas estações do ano formadas por quatro meses.

 

Ver: FAUNA & FLORA (***)

 

Sendo assim, tanto a tradição grega quanto a egípcia conservaram nomes relacionados com Sarpédon enquanto deus dum culto arcaico de morte e ressurreição pascal.

Então, atendendo ao deus egípcio Serápis, suposto pai de Harpócrates e ao deus grego Karpo podemos postular que o deus menino minóico teria sido *Ker-Auphi-Than, literalmente Nosso Senhor Adónis, a cobra macho (Tan), filho da deusa mãe das cobras (Auphi, Ophi, Ops ou Copia) que veio a ser a deusa da morte negra dos gregos, Ker.

En otra versión dice que Minos, Sarpedón y Radamanto tuvieron una riña a causa de un bello muchacho del cual ellos se enamoraron, conocido por el nombre de Mileto, hijo de Apolo y Areia. El muchacho prefirió a Sarpedón sin embargo, Minos en venganza fue a la guerra y conquistó toda la isla. Sarpedón y su amante escaparon a Licia dónde Mileto fundó la ciudad que hoy lleva su nombre. Otros mitólogos dicen que el nombre del joven era Atimnios, hijo de Zeus y Casiopea. (Apolodoro iii.1.2)

Ora bem, o moço que os irmãos de Minos disputavam chamava-se Milétos ou Atumnio. Mileto pode ser, ou não, um nome de conveniência mas já Atymnios não o será seguramente.

Milétos < Mil-et(os), lit. “filho de Mil-itu” = Afrodite Melania.

Atymnios < Atumino.

*Atúmnio terá sido o antepassado comum de todas as variantes de deuses pascais particularmente as que são mais próximas do nome de Dionísio e Adónis. A forma pederastia iniciática desta variante do mito de Sarpedón deixa-nos com várias suspeitas, tão difíceis de desvendar quanto de contornar. Primeiro que a origem do mito seria uma das muitas variantes dos mitos de rapto iniciático pedófilo de origem cretense, quase sempre protegidas pelo culto de Apolo e pela mística dos Coiros, referidas nos estudo de Bernard Sergent. Segundo, a tradição da pedofilia iniciática cretense terá sido uma realidade social intrínseca ao matriarcado, que no culto de Cibele irá atingir extremos paroxísticos de culto da virgindade masculina por auto castração, e que nos limites insulares da ilha de Creta seria uma forma intuitiva de contenção da natalidade dentre de limites suportados pela ecologia da ilha e que teria como modelo natural o conhecimento empírico e o culto místico da abelha-mestra.

 

Ver: APILIA (***) & ADONIS (***) & COIROS (***)

        & APOLO KARNEIOS (***)

 

Obviamente que não se pode também evitar o confronto com as lendas ou mitos bíblicos de Sodoma e Gomorra confirmando que estas cidades ou não seriam continentais situadas nas imediações do mar negro ou fariam parte duma zona continental da grande ilha da Atlântida que o cataclismo de Santorini submergiu levando com ele o orgulho pedófilo da civilização minóica mascando assim tanto o fim dos sacrifícios humanos particularmente dos primogénitos, referido ainda na bíblia de forma metafórica na suspensão do sacrifício de Isaque, assim como a tradição do rapto iniciático pedófilo.

 

Ver: DEUS-MORTO (***)



[1] Projecção rectangular e regulação de cor, feita ciberneticamente pelo autor, a partir de foto original do do New York Metropolitan Museum of Art.

quinta-feira, 28 de fevereiro de 2013

POTOS, o deus dos desejos, dos filtros de amor e das poções mágicas, por arturjotaef

 

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Figura 1: Pothos ("longing") or Himeros ("desire"). Later mythology made him the constant attendant of his mother, Aphrodite, goddess of love (In this version he represented lust). In most stories he was the son of Aphrodite and Ares and was represented as a winged youth armed with bow and arrows with which he shot darts of desire into the bosoms of gods and men.

Em algumas versões de mito, Pothos é o filho de Eros, ou é retratado como um aspecto independente deste. Contudo outros o chamaram o filho de Zephyrus e Íris. Ele era parte do acompanhamento de Afrodite, e levou uma videira, enquanto indicando uma conexão com o vinho ou com o deus Dionísio. Potos representa as ânsias do desejo apaixonado. [1]

Pothos = "Desire". Phoenician personification of desire as a divine primeval force.

Este deus, como muitos outros, deve ter sido copiados dos fenícios pois que existiu ali o deus Podos, em tudo idêntico ao Potos grego.

A etimologia, pela sinuosidade dos seus caminhos esta cheia de surpresas que por vezes não deixam de ser prenhes de sugestões irónicas, sobretudo quando roçamos as fraldas dos deuses do erotismo caricato por natureza!

Assim, se a deusa latina Puta era, por uma estranha forma de pronunciar o «efe», a mestra da poda, Podo / Potos era o Puto “deus menino”, filho da rainha das «putas», Afrodite…ou Eos?

A experiência precoce da relação das bebidas alcoólicas com a dependência e os desejos imperiosos pode ter sido uma das causas da relação mítica de Potos com os desejos violentos e inapeláveis que poderiam ocasionalmente levar a morte por exesso de paixão

It is likely that the motif of pothos was introduced to the Alexandrian literature by Aristobulus. Pothos means 'longing', and this was believed to be a good way to describe Alexander's inner drive. So, our sources mention that Alexander was longing to cross the Danube, untie the legendary knot at Gordium, found an Egyptian city, go to the oracle of Ammon, capture the Aornus, visit Nysa, sail the Ocean, or see the Persian Gulf (all these examples in Arrian).

Figura 5: Pothos / Delphinium (Photo Jan Pieter van de Giessen)

The word - or its Latin translation ingens cupido - became a standard description of Alexander, and perhaps one of the attractions of the idea was that pothos could also signify a desire to die: pothos was the name of the flower that Greeks placed on someone's tomb. An author who had used this word, could leave Alexander's behavior during battles and sieges and his drinking habits unexplained. Like Achilles, Alexander had chosen to be famous and die young.[2]

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Obviamente que as flores de pothos / delphinium que os gregos colocavam nos túmolos só poderiam significar as ânsias do desejo da primeira fase do luto que a morte dos entes queridos deixam nos apaixonados que ficaram entre os vivos. Picus deve ter sido uma variante latina deste deus da fertilidade agricula, tão belo que todos se apaixonavam por ele, clara metáfora das setas do olhar fulminante de Cupido.

A verdade é que a planta que leva o nome de pothos pode também chamar-se em Latim ficus < Phicus > Picus!

A sua relação deste deus silvestre com o «pica-pau» é quase sexualmente tão explícita como a veemência insistente da paixão!

*Pot < Phot < Phiat < Phiash < Kiash, lit, «filho de Ki».

                                                           > Kiku(s) > Phicu(s) > Pico.

Picus = Ancient Roman deity of agriculture. He also possessed the powers of prophecy. Circe changed him into a woodpecker when he did not requite her passion. He was Son of Saturn and Father of Sylvanus. He was so beautiful that all who saw him fell in love.

Este poderoso deus que metia de modo estranho os pés pelos o efes (porque «fode» quem «pode») era o deus dos desejos imperiosos próprios de Eos, a deusa da aurora pelo que muito mais etimologicamente correcto seria se tivera sido filho dela, mas calhou-lhe sê-lo da deusa do amor e do deus da guerra.

 

Ver: EOS (***)

 

Este deus, que foi tão primordial como Eros, era afinal *Pot ó Pta ó Tot, variantes nominais de Enki, que teve a variante conhecida dos russos de Potenkino, o divino puto de Tiamat, a Deusa Mãe primordial.

Πόσος = Lat. quanti? < ποσεία = quantidade ó ποτή = quantidade de vinho. > ποτήρ = copo de vinho > ποτής / ποτός = bebida > ποτίζω = dar de beber

=> Πότ, apocop. para ποτί (q.v.). ποτα Aeol. para ποτε, as ὄτα for ὅτε = bebedor, beberrão, bêbado; πότος = bebendo, competição de bebida, patuscada de comes e bebes. ó ποτέος = potável ó ποταμός = rio < ποταμεύς = Vento Este > ποτανός = alado < ποτή = voo. Ποταίνιος = fresco, novo.

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Figura 2: Mosaic of the Drinking Contest between Heracles and Dionysus from the "Atrium House" in Daphne, early second century AD. In the center of the mosaic is Dionysus, light-skinned and relaxed, overturning his cup to show that he has won the contest. A Silenos with white hair and beard raises his arm in triumph (right) and an Eros-type figure (middle) indicates the winner.

Obviamente que a figura tipo Eros só pode ser Potos. Este mosaico além de confirmar que Potos era o deus das bebedeiras que dava asas de Erote aos desejos dos amantes confirma a relação semântica que o termo pote tinha com os bêbados e a das festas de borracheira. O facto de Hércules, deus do poder e da força física aparecer em competicção com o deus do vinho confirma a íntima relação semântica que terá existido desde muito cedo entre a ilusão de força e poder que a embriaguez dá.

Potos não era em grego directamente água ou líquido mas deve ter sido por ter ficado ligado à água dos potes de barro que nos tempos antigos do calor mediterrânico era a única forma de as conter frescas…como as novidades!

Mas Potos teria sido durante muito tempo antes de Hebe e Ganimedes[3] sobretudo o deus que servia aos deuses o “elexir da vida eterna”, vinho que corria abundantemente como num rio nos simpósios e, por isso, acabou dando nome grego aos bêbados e às bebedeiras…e por isso foi nome de um dos erotes, Potos, que usava o vinho como “néctar de desejo” ou como lenimento para dar de beber à dor das ânsias sexuais…que dão asas de Erote aos amantes.

O mais interessante é que se não ficou ligado ao pote ficou ligado ao púcaro com um termo Ποτήρ, poter, que os latinos usaram para simbolizar o «poder» separador das águas e a aparência de força e poder do vinho!

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Figura 3: Detail of Pothos (…) from a painting depicting a bull-shaped Zeus carrying the maiden Europa across the sea to Krete. The young love god is sprinking his nectar of desire upon the pair.

O vinho, além de atiçar desejos positivos também exalta desejos amorosos perversos e negativos como a inveja e o ciúme que resultam evidentemente de uma corrupção do erote Potos degenerando no «fedorento» Fdonos.

Phthonos = The personification of jealousy and envy.

 

Ver: ENKI E O PODER SEPARADOR DAS ÁGUAS (***)

        & POTOS (***) & POTINIJAS (***) & POTNIA TERON (***)

 

Em épocas mais arcaicas Potos seria apenas um deus dos mares crretense paredro da deusa mãe *Puta-mi-da mãe das ninfas, nereides e potâmides.

Potamei-des = Naiad-nymphs of rivers.

Pitane = A Naiad nymph daughter of the Spartan river Eurotas. She was loved by Poseidon.

Como começa a transparecer a maioria das ninfas eram deidades arcaicas relacionadas com forças da natureza e por isso filhas da Grande Deusa Mãe da Natureza. O facto de terem acabado como entidades secundárias como deidades destronadas e sem culto próprio não invalida que não fossem verdadeiros fósseis míticos de deidades de culturas mais antigas, no caso quase seguramente de divindades micénicas senão mesmo minóicas. Na verdade, nas actuais tentativas de decifração do linear-a parece transparecer o nome de algumas destas ninfas que então seriam divindades tão importantes que mereceram ficaram ligadas a toponímias importantes como são as hidrográficas e orográficas.

P-T-N-A-[

PI-TI-NE-A-[

name in a list ARKH 4a. 4-5

P-T-K-R

PO-TO-KU-RO

"grand total" HT 122b. 6; HT 131b.4

P-T-M

PU3-TA-MA

word (name?) PH Wc 38

Pitane, a naide Pitane do rio Eurotes, seria a minóica PI-TI-NE-A e *Puta-mi-da seria PU3-TA-MA. PO-TO-KU-RO, o “grande total”, seriam os filhos de Dagon, o deus Kuro e, por isso, o conjuntos dos filhos da deusa mãe que seriam os Erotes que afinal teriam acabado por dar nome ao rio mais importante da Lacónia não porque fossem os deus dos amores venais mas antes o Amor dos amores, o deus protágono, quiçá o próprio Dagon / Fauno / Pan.

O rio Eurotas é um rio grego, o mais importante da Lacónia, com cerca de 82 km de comprimento. Nasce no monte Borée, corre pelo vale de Taigeto e desagua no golfo da Lacónia. A cidade de Esparta ficava nas suas margens. O seu nome deu origem ao nome de um herói homónimo.

The classical Eurotas was changed to Iri in the Middle Ages and only changed back to Eurotas in recent times. Eurotas, however, is not the most ancient known name of the river. It does not appear in the works of Homer, which purport to recount the stories and geography of Mycenaean Greece. In that legendary time, the Dorians are not known to have been present in the Eurotas Valley. At some time prior to being called Eurotas, the river was the Bomycas and the Himeras.

One etymology derives the word Euro-tas from the ancient Greek euro-s, "mold." The adjective, euro-eis, "moldy," is genuinely ancient, used as an epithet of Hades in Homer. It is, however in the Ionic dialect.

Εὐρώς = bolor, húmidade, mofo, bafio.[4] > Εὐρώεις, epith. de Hades.

Εὖρος = vento Este; extenso, largo.[5]

Εὔροια = bom fluxo, passagem livre, Plat. II. fluência, id=Plat. III. Bom, id=Plat.[6]

Sabemos que antigamente os rios eram deuses pelo que muito pouco provavelmente este importante rio da Lacónia derivaria o seu nome da mera “humidade” comum nas margens dum rio pantanoso como parece ter sido este rio da Lacónia, mas que no sul mediterrânico nem sequer seria intensa e, por isso, relevante, pelo que o mais provável seria derivar esta local de temporária humidade do nome do rio Eurotas, “largo e extenso” e por isso “de bom fluxo e de passagem livre” ou de Euros, o vento Este…se é que não seriam a mesma entidade.

Se o vento Este era Euros que era o Sr. do Kur como todos os restantes deuses dos infernos e da aurora, então era uma variante de Enki que, enquanto Hormaku, foi Hermes. Mas…ποτα-μεύς significava também Vento Este!

Another summit near Taletum was called Evoras (Εὐόρας, Belvedere, Paus. l.c.), which Leake identifies with Mt. Paximádhi, the highest summit next to St. Elias, from which it is distant 5 1/2 geographical miles. The ancient names of none of the other heights are mentioned. -- [7]

Evoras < E-wa-uras > Ew(a)ruas > Euros deus = *Euro-te > Erotes.

De *Euro-te a Eurotas terá ido um pequeno passo que terá sido dado por este rio ser de facto identificado e por isso denominado em tempos arcaicos como Himeras, seguramente variante fonética de Himeros, o Erote dos desejos, ou seja, Potos. A relação dos rios com a sede e os desejos nem é preciso explica-la bastando apelar para ela em tempo de sequia e canícula como era o Verão mediterrânico.

Não foi possível encontrar a etimologia de Bomycas podendo no entanto ser tentada.

Βωμικός = [definition unavailable] < Βώμιος = do altar < βωμῖτις

= consagrado = “Cornos da consagração”!

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Figura 4: “Cornos de consagração”

Os tradicionais "cornos de consagração" cretenses, presentes no alto dos palácios minóicos e dos principais santuários de Creta, são uma representação estilizada dos chifres de um touro, imagem importante na religião minóica que, parece, seriam o símbolo de Poseidon e, então, a possível origem formal do tridente! Mas eram também o símbolo dos montes da Aurora primordial.

Bomycas < Bô-Mykas, literalmente o “boi (sacrificado por) Micas, (a Deusa Mãe)!

 

Ver: BUCRANEO (***)

 

Señor de los Vientos, vivía en la isla flotante de Eolia con sus seis hijos y sus seis hijas. Zeus le había dado el poder de controlar los vientos, Eolo los tenía encadenados en un antro profundo, donde los gobernaba con un dominio absoluto, apresándolos o liberándolos a su antojo, ya que todos los vientos liberados podrían provocar graves desastres en el cielo, la tierra y las aguas.

(…) La paternidad de este tercer Eolo es atribuida a Hípotes, el cual según Diodoro Sículo es hijo de Mimas, uno de los hijos del Eolo Helénida.

Erotes < Rio Euro-| tas < tes | = deuses Euros, ou seja do Kur onde

Eolo > E-auro ( / Enlil) os guardava > E-Úros = Vento Este < E-Kur.

Os ventos eram filhos de e Astreu e de Eos, a deusa dos amores compulsivos matinais pelo que podem ser uma mera variante dos Erotes, a progenitura de Afrodite que seriam os deuses Euros por antonomásia!

Euro (en griego antiguo Εύρος, Eúros) era la deidad que representaba al funesto viento del este. Se creía que traía calor y lluvia, y su símbolo era una vasija invertida derramando agua (¿). Su equivalente en la mitología romana era Vul-turno (no confundir con Volturno *), un dios-río tribal que más tarde pasaría a ser la deidad romana del río Tíber.

* - No entanto, Volturno é o principal rio do centro-sul da Península Itálica que teria dado origem ao nome do deus tribal Vulturno.

(?) – Parece que o pote invertido era Notos ou Argestes e Euros tinha por símbolo a manta!

Bem vistas as coisas parece que rios e ventos andaram confundidos na origem até porque nos vales dos rios sopram brisas que são variantes suaves dos ventos das tempestades. Por outro lado ficamos a saber que a o “bolor” que pareceria ter dado nome ao rio da Lacónia Eurotas e que carece de calor e humidade decorria da acção do vento Euro que era um servo de Eolo e era E-Uro também, filho de Hi-potes e que por isso seria pais de Potos também ou apenas um dos Erotes esvoaçantes como brisas de Zéfiro, o que transportava a terra (Ki) ou o ka da vida eterna e irmão do bravio Bóreas, apesar de tudo foneticamente aparentado com ele.

Bóreas < Wau | < Kau > Hau | > Áureas > Euro.

A relação do deus das águas doces com a cerveja seria inevitável, embora quase que seguramente esta tenha sido uma invenção culinária da deusa Mãe.

 

Ver: CERES (***)

 

No entanto, não deixa de ser um facto que todas estas realidades andaram sempre mais ou menos relacionadas. Não havia boa vinha sem boa poda, nem boa «foda» sem bom vinho e boa «puta», que, na origem não era tão prostituta quanto isso, mesmo quando se dedicava à prostituição sagrada em nome da potinija das potinijas que foi Istar, a deusa que embebedou o pai para lhe roubar os segredos divinos, tal como as filhas de Noé! Assim, ficamos com a suspeita de que as mulheres inventaram as bebidas alcoólicas num delírio de artes culinárias para soltarem a língua aos homens e deles aprenderam os segredos de estado! De qualquer modo, depois das noites de bacanal vinham, nove meses depois, a “dores de parto” que, quem sabe se não seriam aliviadas por uma boa bebedeira! O certo é que em tempos arcaicos tudo teria sido possível pois que ainda até há bem pouco tempo a cerveja era utilizada como tónico pediátrico. Não admira portanto que a deusa romana das poções pediátricas fosse Potina, uma potinija seguramente especializada nas “sopas de cavalo cansado”!

Potina = The Roman goddess associated with the first drink of children or children's potions. "Drink" Potina is the goddess of drink.

Micenic.Potinija > Crec. Potinia > Lat. Potina.

A descoberta da “fermentação alcoólica” das uvas de que com muito trabalho resulta o vinho e sobretudo da cevada de que mais facilmente resulta a cerveja, pela sua própria natureza química teria que se tornar inevitável na história humana. Mesmo assim este facto histórico deve ter tido um impacto social de tal magnitude que quase todos os povos antigos têm um mito qualquer que reportam o início da cultura da vinha aos sobreviventes do dilúvio.

Uma possibilidade explicativa simples para este mito pode ser a que resultaria da aceitação do facto virtual de entre os refugiados da catástrofe telúrica que destruiu a civilização minóica se encontrarem os primeiros enólogos na qualidade de xamans possuidores dos mistérios báquicos ou mais seguramente de sacerdotisas da deusa mãe dos mistérios do vinho e da agua e do fogo, Potkina, antecessora da deusa micénica Potinija e da deusa do fogo hitita, Tapkina, esposa de Enki!

Potinija < Potinisha < *Pot-Anat

                                 = *Pot-Atan < Pot-A(n)kina

          Pot-(En)Kina óTaukina > Tapkina.

Porém, muito tempo antes a “poção mágica” inicial não terá passado duma qualquer bebida fermentada com poderes mais espirituosos do que espirituais. É certo que a urina de veado era uma forma natural de obter uma bebida psico-modificadora com fins xamânicos mas as migrações para sul deixaram os xamans sujeitos à importação do cogumelo seco e logo à necessidade de lhe arranjar substituto o que só terá vindo a acontecer com a descoberta da água-ardente.

A verdade é que a história antiga nos revela o encontro de duas tradições religiosas distintas no início da história. Uma, matriarcal de origem mediterrânica, ou talvez mais arcaica ainda e de origem africana, centrada nos cultos fálicos da cobra e da deusa mãe sem casta sacerdotal hierarquizada e na qual se enraízam as tradições civilistas e outra, patriarcal centrada no culto dum deus da guerra representado primitivamente pelo veado e depois por animais substitutos de tipo taurino representada pelo xamanismo de que resultaram todas as castas sacerdotais.

Pois bem, foi na promiscuidade do xamanismo com o culto dos ideais guerreiros que surgiu a primeira fundamentação socialmente funcionante do primeiro uso abusivo das drogas enquanto “poções mágicas”. Do mesmo modo que a estratégia do culto dos troféus de guerra, alicerçado na filosofia do sucesso social a qualquer preço, serviu para que a sociedade conseguissem prender os guerreiro aos desígnios políticos das sociedades heróicas também a “poção mágica”, enquanto capazes de anestesiarem o guerreiro, dando-lhe ilusão de imunidade à dor e aumentando a resistência à fadiga, acabariam por se tornarem em poções mágicas de omnipotência. Logo que tecnicamente possíveis e disponíveis, surgiram como risco de perversão inevitável para em urgências de tempo de guerra ajudarem o guerreio a ter força e coragem muito para além do que lhe seria humanamente exigível.

O abuso destas poções na calmaria da caserna em prolongado tempo de paz acabaria inevitável! Quer isto dizer que a questão do “doping” não é de facto uma questão marginal decorrente da degenerescência do ideal Olimpo a não ser na medida em que este foi introduzido nas sociedades modernas de forma artificialmente sublimada e à revelia da tradição social vigente. De facto, nem o espírito olímpico grego terá sido tão angelical e ético como se pretende que o seja na modernidade nem as elites aristocráticas onde foi introduzido correspondiam à alma social vigente. O resultado foi que com a massificação desportiva moderna as vantagens inerentes às vitórias deixaram de ser um mero ramo de loureiro a engalanar de forma diletante o rosto de, nem sempre belos, meninos bem para passarem a ser o ouro que permite comprar o sucesso social tanto ao mais comum dos mortais quanto aos mais mal paridos pela sorte!

A filosofia da estratégia dos troféus regressou às arenas da vida social moderna e o risco da necessidade das “poções mágicas” regressou na forma de drogas diversas! Por estas e por outras regressões históricas deste tipo é que as sociedades pós-modernas se debatem com o problema do «doping» dos desportistas e da «droga» das estrelas decadentes, dos falhados do sistema educativo e de todos os vencidos da vida!

Pois bem, a “droga e o doping”, que faz hoje parte dum fenómeno tão cínica, hipócrita e ingenuamente malvisto, chamar-se-ia a “poção mágica” das Potinijas nos primórdios da história!

Seja como for, o denominador comum destes fenómenos culturais trans-históricos tem residido na necessidade mítica que a decadência da juventude, quando sujeita à pressão alienante da competitividade social desenfreada, acreditar na existência de “tónicos de juventude”. Como corolário, são os homens de saber, outrora xamans e hoje profissionais da saúde e das indústrias química e farmacológica, que acabam por ceder às angustias da juventude com soluções mediadoras, outrora ritualizadas em torno do caldeirão mágico e hoje medicalizadas quando não piquiatrizadas. Porém os mesmos recursos legais ou socialmente aceitáveis, medicamentos legais ou drogas leves, podem acabar por descambar no abuso que outros sabedores de menores escrúpulos que facilitam senão mesmo substituem por drogas mais activas e duras no pressuposto de que o que importa é de facto o resultado imediato em termos competitivos. Se certas substâncias psico-modificadoras, ao produzirem ainda que apenas a sensação de vigor anímico ou a ilusão de força física, estimulam e auxiliam o atleta na busca da vitória que tendência estatística lhe poderia resistir por muito tempo se é certo que tudo o que é possível acaba por acontecer independentemente da insensatez dos resultados?

Aceitando que o étimo *pot – deriva etmicamente dum deus fálico protágono de toda a epifania mística e a quem se reporta o paradigma da potência sexual enquanto referência mítica do poder e da força em geral a verdade é que a “poção mágica” veio a receber um reforço étmico adicional que fez com que este se viesse a reportar ao conceito de tudo o que corresponde ao elemento líquido e à água, porque poderosos eram os deuses “manda chuva” das tempestades e dos mares!

O uso xamânico vulgarizou-se a tal ponto que terá levado a que o consumo de “poção magica” em formas comuns de bebidas espirituosas do tipo da água ardente ou a cristianíssima “água viva” (Franc. «au de vie») se tornasse tão comum que o termo “poção” passou a ser sinónimo tanto de água como de força. Esta dualidade não foi generalizada a todas as línguas e pode permitir utiliza-lo como marcador da propagação geográfica de fenómenos culturais. De facto *pot- tem conotações com a “força” na tradição latina e com a “água” na tradição grega mas o nome dos deuses das águas destes dois povos manifesta uma nítida reunião desses dois significantes no étimo *pot- = “força” + “água” = água-ardente.

Ora, o único semantema que conjuga estes dois sentidos (*pot- = “força” + “água”) é a “poção mágica” cuja existência real só pode corresponder às bebidas espirituosas, particularmente à “água ardente”!

Claro que as misteriosas águas quentes termais também podem ter tido a sua influência no correlacionamento entre os deuses do fogo e a água e do uso balsâmico que estes teriam no repouso reparador bem merecido do guerreiro.

No entanto, o primeiro óbice a estas especulações reside na dificuldade da obtenção de bebidas de alto teor alcoólico apenas por fermentação. Dito de outro modo, estariam as civilizações pré-históricas apetrechadas com tecnologias rudimentares de destilação? A arte refinada de perfumaria reconhecida aos egípcios parece exigi-lo. A arqueologia confirma-o.

L'invention de l'alambic est attribuée aux arabes, aux alentours du Xe siècle. Ainsi Abu Al-Qasim (Aboulcassis), un des plus grands chirurgiens arabes, passe pour en être l'inventeur. Mais le principe existait déjà bien avant, et les grecs le connaissaient. Le mot alambic vient d'ailleurs de l'arabe al anbiq, lui-même emprunté au grec tardif ambix (= vase). On aurait même retrouvé des traces de l'invention de l'alambic par les égyptiens en mésopotamie vers -3500 avant JC. L'alambic fut d'abord utilisé pour fabriquer des parfums ou des médicaments, avant de permettre la production d'eaux-de-vie par distillation de jus de fruits fermentés. -- Wikipédia

Obviamente que as “poções mágicas” ou elixires foram, como as tisanas e os cremes os primeiros medicamentos da humanidade.

A maioria dos termos portugueses com radical *pot- reportam para conceitos de poder mas alguns existem que guardam velhas referências aos líquidos que sugerem a “poção mágica”.

«Pote», (lat. *pottu); «potabilidade» (= que pode ser bebido); «potério» (greco-latino = copo); «potassa»! Para uns deriva do germânico potasch, = «cinza do pote?»[8]. Porém, é bem possivel que este termo constitua uma palavra fóssil falante por já ter significado eventualmente potash = “água de fogo”, conceito que tanto pode ser reportado à “água ardente” como à solução aquosa de potássio. Na verdade, estas semânticas já andaram juntas na Suméria, como se vê nos termos seguintes:

Sumer. Nañ, na: = to drink; to water, irrigate; drink.

       Naña: = alkali, potash (used as soap) (nañ + a).

Em boa verdade estes exemplos sumérios são ainda dum maior arcaísmo do que o termo germânico potasch porque nos reportam directamente para o nome do deus das águas primordiais Nañ < Naun < *Nanu > Egipt. Nun. Este deus *Nanu não seria senão Enki, o filho da deusa mãe primordial que por ter sido um deus lunar foi também conhecido como Nana na caldeia.

 

Ver: NUN (***)

«Potreia» (= bebida desagradável); «potra» (= bolha de água); «potagem» (sopa francesa).

É certo que o português revela influencias linguísticas poliglóticas mas, para que em tantas destas referências, sejam elas francesas germânicas ou gregas, surjam indícios de que o étimo *pot- significou tanto o continente quanto o conteúdo de líquidos, ou seja tanto o «pote» quanto a «bebida», é necessário pressupor uma situação em que ambos os conceitos possam ser permutáveis. Ora, isto costuma acontecer quando a bebida é de tal modo importante que nem sequer é necessário referi-la já que para bom entendedor meia palavra (e um bom contexto retórico) bastam! A expressão tão vulgar de andar nos copos com o significado de andar a beber...vinho é o exemplo acabado desta figura de estilo e do poder que ela pode ter tido na perversão dos sentidos semânticos ao longo da história! Claro que o falso purismo linguístico ajuda a manter o equívoco pois quem usar a simplificação “beber um copo de vinho” recebe por reprimenda a indicação de que os copos podem ser de vidro, ou de outro material, mas nunca de vinho!

Nada obsta a pressupor que a «copa» castelhana (< lat. cupa), tal como o «copo» português tenham tido em latim o «pote» equivalente que degenerou no moderno pote de barro também eufemismo do «bacio» (< lat. baccino). De facto, Dioniso andava sempre nos copos e de copo na mão. Como tinha também o nome de Baco, ao seu «cântaro» de libações passou a chamar-se báquico (< «baquiano» => baccino) e com a queda em desgraça do paganismo degenerou no bacio de mesinha de cabeceira ou vaso de noite! Porque seguramente os copos latinos eram de barro e seguramente de maior capacidade do que os actuais, pois que então os vinho serias mais baptizados, os «potes» (Prov. Pot- < Lat. * pottu, s. m. = grande cântaro para conter líquidos) referir-se-iam não à «cratera» das libações mas ao continente da bebida! Pelo menos no caso dos «copos» assim foi pois as cubas de que descendem tinha a capacidade de mais de duas pipas (cupa < cuba)! Na transição dos tempos do baixo latim o «pote» terá sido ora o vasilhame ora o copo, porém entre os gregos cedo terá passado a ser apenas o conteúdo inicialmente licoroso relacionado com a deusa micénica Potinija e depois com os líquidos em geral e com a água por antonomásia. Na verdade, o grec. Potamos, literalmente equivalente a «liquidame» tomando *-amos como o equivalente do sufixo português *-ame de pluralidade de coisas. Assim, entre o «pote» continente e a potabilidade do conteúdo se desenvolveu a história deste étimo o que tem implícito o pressuposto dum período em que a ambiguidade foi não apenas possível como naturalmente frequente. Como no étimo de *pot aparece um significante de «poder» que não está implícito nem no conceito aguado do conteúdo nem no fragilidade de barro do continente há que colocar a hipótese de a força semântica derivar dum conceito intermédio que só pode ter sido o conceito e termo «poção» mágica que os arianos utilizavam com o nome de Soma em rituais liberatórios de iniciação guerreira, antepassados remotos das actuais bebidas espirituosas e outras drogas estimulantes.

 

Ver: HEBE (***) & TIAMAT (***)



[1] In some versions of myth, Pothos is the son of Eros, or is portrayed as an independent aspect of him. Yet others called him son of Zephyrus and Iris. He was part of Aphrodite's retinue, and carried a vine, indicating a connection to wine or the god Dionysus. Pothos represents longing or yearning.

[2] Alexander the Great: the 'good' sources, by Jona Lendering ©

[3] Se é que não foram variantes das mesmas entidades.

[4] mould, dank decay.

[5] the East wind; breadth, width

[6] I. a good flow, free passage, Plat. II. fluency, id=Plat. III. successful progress, id=Plat

[7] Dictionary of Greek and Roman Geography. William Smith, LLD. London.

[8] (= po-tasch > «tacho»???).