Figura 1: Vaso ático de fundo claro representando Perséfone fazendo uma libação a sua mãe Deméter,
deusa da abundância cerealífera do trigo de três espigas e que por isso
mesmo aparece aqui coroada com a típica «tiara», kalathos ou cidaria
(< kitharia) radiada de Deméter Kidaria.
Na mitologia grega são várias as deusas coroadas mas a que tem este estatuto como mais frequência é Deméter.
A
Pheneos d’Arcadie, du temps de Pausanias encore, on accomplissait des
rites de mystères tous les deux ans, auprès du lieu dit Petroma. Il y
avait la deux pierres enfermant une cavité; au-dessus, un couvercle
circulaire qui contenait le masque de la déesse: le prêtre le revêtait
lors de la célébration des mystères, on sa fonction était de battre la
terre a coups de bâton. La déesse, c’etait Déméter Kidaria. Kidaris est le nom d’une coiffure, et peut-être bien du masque lui-même. Kidaris est aussi le nom, arcadien, d’une danse.
L’Arcadie
de Pausanias est comme un musée d’antiquités religieuses. Et le culte
de la Kidaria, tel qu’il nous est décrit, est un bon spécimen de la
collection. Pourtant, si archaïque qu’il apparaisse, il n’est plus a
1’etage que nous avons entrevu dans les fêtes purement paysannes. I1 y a
la un personnage, le prêtre, qui doit appartenir, car c’est normal en
pareil cas, a une famille spéciale. 11 est spécialement qualifie pour
porter le masque, pour représenter la divinité. II danse sa danse, ou il
la fait danser a des inities. Car il y a des inities: aussitôt qu’on a
quitte le milieu relativement indifférencie que nous avons considéré
jusqu’ici, les mystères sont la première réalité qui s’offre au regard.
L’Arcadie en était pleine.
Les
mystères pourront changer beaucoup ; mais un trait caractéristique y
persistera : pas de mystères sans danse, note Lucien. La danse avec le
chant (molpe signifie les deux a la fois) est l’opération
religieuse qui définit certaines corporations, dont plusieurs ont
continue de présider a des mystères et dont toutes nous apparaissent
avec un caractère singulier et exclusif. (…)
La multiplicité de sens du mot Kidaris est singulièrement instructive. Le meilleur commentaire, a vrai dire, qu’on puisse lui donner, ce n’est pas –
directement du moins – la Grèce elle-même qui le fournirait; mais il
est permis de l’emprunter a une civilisation dont la Grèce a participe
et qui se présente souvent sur nos chemins.
En Thrace, on a pu signaler déjà ce qu’avait de suggestif le nom de Seuthes,
qui est un nom de roi – et aussi de divinité – et qui est aussi celui
d’une danse: plus probant encore nous apparaît ici le nom de Zalmoxis qui désigne un dieu, un personnage légendaire, mais également un chant, une danse, une peau d’animal (ours) – un masque. (…)
La
est le passage a un état nouveau, ou la personnalité s’accuse chez les
acteurs du drame religieux, comme dans les projections mythiques a quoi
il prête. I1 est symbolisée par ces danses circulaires autour d’un autel ou d’une maison sacrée, comme celles que prescrit leur règlement aux orchestai de Phlya. (…)
Figura 2: Cérès, debout, dans une pose majestueuse, couronnée du calathus ou de la cidaris radiée, tient d’une main des épis, et de l’autre s’appuie sur un long sceptre fleuronné. (Elite des Monuments ceramographiques, Charles Lenormant &Jean de Witte.)
Autour
de Zeus nouveau-né, et pour que ses vagissements ne fussent pas
entendus d’un père qui dévorait ses enfants, les Couretes exécutèrent
une danse en entrechoquant leurs armes. – Les Couretes sont un modèle
mythique de confrérie. Ils ont des rapports avec d’autres groupes qui
ont parfois une aire géographique plus ou moins définie. Des parentés se
reconnaissent ici qui provoquèrent des confusions précoces: Couretes de
Crete, Corybantes d’Asie Mineure – les uns et les autres associes a une même déesse -Terre, Rhéa ou Cybèle
– Dactyles, également crétois, mais de 1’Ida d’Asie aussi bien,
Telchines de Rhodes, Cabires de Samothrace, de Lemnos ou de Beotie,
Cyclopes de Lycie et d’autres lieux, Satyres de partout et qui, avec les
Tityres crétois, sont rapproches des Couretes, c’est par tel ou tel
trait qu’ils présentent des affinités, mais les affinités vont des uns
aux autres, en série continue. Ceux qui sont restes les plus vivants dans les imaginations de 1’epoque historique sont, avant tout, des danseurs:
les Couretes le sont essentiellement, qui sont au nombre de neuf, comme
les Muses – nombre orchestique; les Corybantes sont connus par les
danses qu’ils exécutaient au son du tympanon; les Dactyles ont enseigne
la musique a Paris mais Orphée aussi est leur élève.
Figura 3: Em frente a ela, por trás de Nereu, está quase simetricamente do lado correspondente a recolha de uma deusa homenageada pela ceptro e kalathos.
Se é concebível que a esposa de Zeus teria ido até as potências do mar
para reclamar sobre a fama de Hércules, segundo as relações pictóricas
adequadas ao que este personagem mais gostaria de sugerir aqui,
provavelmente não porquanto, em nossa opinião, decidimos por Perséfone,
esposa Dionísio, ao lado do qual se encontra. [1] (Gerhard, Eduard, Auserlesene Griechische Vasenbilder, hauptsächlich Etruskischen Fundorts; Band 2)
Porém, na falta de legenda da mão do ceramista, o mais provável é que nesta representação do Museu Civico de Sartorio em Trieste, não seja nem Hera nem Perséfone a envolvida mas Deméter que como sabemos na qualidade de deusa da agricultura, fez várias e longas viagens com Dioniso ensinando aos homens os mistérios da agricultura. Entretanto, é possível que ambos se tenham encontrado com Hércules
quando procurou a filha pelos quatro cantos míticos do mundo, ou seja,
seguramente também nas profundezas abissais onde reinava Nereu.
Couretes et Corybantes, c’est aussi le nom de corporations réelles, et que l’on connaît dans I’histoire.
(…)
A partir d’un embryon de culte masculin, comme celui que nous avons
aperçu dans les fêtes paysannes, ce qu’on entrevoit ici, c’est une forme
religieuse spécialisée, ou l’initiation d’un nouveau kouros a pu se
faire sous les formes d’une nouvelle naissance, celle que protégent les
Couretes, et a pu donner lieu a l´imagination d’un Kouros Megistos (d’un
« grand » Kouros) qui est un dieu commençant. Mais, pour comprendre la
fonction réelle de ces confréries préhistoriques, c’est toutes celles du
même genre qu’il faut considérer, et c’est a la mythologie qu’il faut
revenir.
Figura 4: Troptolemos e Deméter Kidaria.
(…)
Plusieurs de ces groupes sont définis comme fondateurs de mystères
-ainsi, le plus expressément, celui qui est le plus enfoncé, peut-être,
dans la préhistoire, les Dactyles. Quelques-uns aussi sont définis comme
groupes de héros civilisateurs, notamment les Couretes. Mais il y a une
troisième donnée qui apparaît comme la plus essentielle et qui est
précisément la plus générale: ces êtres mythiques sont en étroit rapport avec les origines de la magie. Et cela signifie d’abord qu’ils travaillent les métaux.
Les Cyclopes, dans une tradition qui les concerne, sont avant tout des
forgerons. Pour d’autres, si éloignes qu’ils puissent être ou si
différents par ailleurs, une même légende est quasi stéréotypée: les
Dactyles idéens furent les premiers a travailler le fer; les Couretes
ont invente le travail du bronze; les Telchines travaillèrent les
premiers le fer et le bronze. – Le Génie grec dans la religion, André Boulanger, Louis Gernet.
Segundo os autores da obra “Le Génie grec dans la religion” (André Boulanger, Louis Gernet) teria sido a confraria cretense dos ferreiros de Creta, os Curetes et Coribantes, que teriam imaginado e estruturado em ritos iniciáticos de passagem os mitos de Zeus / Dionísio filho primogénito dum deus pai pedófilo castrador e tirano e da mesma deusa Mãe Terra, Reia e Cibele
que teriam espalhado como missionários de uma nova fé na magia da
produção de poderosos metais por todo o mediterrânico do início do
neolítico.
Figura 5: Medeia, literalmente Medusa e “minha deusa”, seria um equivalente mítico arcaico de Deméter e, por isso, era representada coroada com o cálato.
Obviamente
que esta tese que tem tanto de verdade histórica como de fantasia
romanesca e tropeça na realidade básica e elementar de Deméter Kidaria que teve,
precisamente nos mistérios de Elêusis, um papel preponderante na
formação da religiosidade helénica e onde os deuses centrais são, além
obviamente da mesma deusa Mãe Terra, que é o que o nome de Deméter quer dizer literalmente, a sua filha Koré / Perséfona.
Por outro lado é duvidoso que os mitos da origem da magia se reportem,
fora das tradições dos Dáctilos e Telquines, exclusivamente ao
conhecimento do trabalho dos metais porque estes decorrem de uma
tradição muito mais arcaica da manipulação do fogo doméstico relacionado
com Hesita / Vesta, deusas dos lares e das complexas e mágicas actividades de culinária e que, por isso faria, virtualmente parelha com Vulcano / Hefesto, fosse como mãe, irmã ou esposa tendo Hecate, a verdadeira deidade da magia, como deidade intermédia. Eventualmente, Hecate seria apenas uma variante de Deméter o
que a mitologia grega confirma ao fazer daquela a companheira
inseparável do complexo périplo mítico desta grupo de tridivas que
seriam afinal avó (Hecate, a bruxa má e a deusa velha), Deméter, literalmente a mãe, e Korê / Perséfona a jovem filha e neta que viria a ser precocemente estuprada pelo deus dos infernos. Ora, como Hecate era uma deusa das serranias e dos partos seria uma mera variante de Eilítia que nas representações arcaicas de vasos gregos aparece coroada como Deméter Kidaria.
Cida′ria (Kidaria), a surname of the Eleusinian Demeter at Pheneus, in Arcadia, derived either from an Arcadian dance called kidaris, or from a royal head-dress of the same name. (Paus. viii. 15. § 1.)
Então, para entender a etimologia do termo kidária
resta-nos dar conta que sendo certo que este termo esteve relacionado
tanto com o penteado ou cobertura da cabeça da deusa mãe como com a
música e a dança claudicante dos ferreiros, que mais não era do que uma
“dança da roda”, o essencial da semântica do termo kidária seria o
círculo da lua cheia que sempre teria estado relacionado com o culto de Deméter Kidaria.
Figura 6: Pl.
XLI. Cérès montant dans un quadrige, Apollon citharède, Diane, Mercure
et Hestia, hydrie de la collection Feoli à Rome, p. 109 et 157.
Si l’inscription DEMETER
n’était pas jointe à cette peinture d’ancien style, on aurait peine à
reconnaître Cérès dans la déesse sans attributs distincts, qui, le pied
sur un char, tient déjà dans la main le stimulus et les rênes du
quadrige qu’elle va conduire.
(…)
Il se peut que le personnage de Cérès dans un char renferme une
allusion éloignée à la course de cette déesse, lorsqu’elle cherchait sa
fille à travers le monde; (…). On y voit une déesse sans attributs qui
monte dans un quadrige allant à droite; le nom de DEMETER, écrit dans le champ, nous fait reconnaître cette déesse comme Céres. Elle saisit les rênes et tient le fouet. Du
reste, une tunique talaire et un péplus, et une simple bandelette
autour des cheveux, n’offrent pas la moindre particularité de costume
pour faire reconnaître ici la déesse d’Eleusis. A côté des chevaux, on voit Apollon et Diane placés en face l’un de l’autre. — Elite des Monuments ceramographiques, Charles Lenormant &Jean de Witte.
Figura 7: Numa cena que não sabemos se será um triunfo de Hércules presenciado pela família de Apolo, uma variante do julgamento de Paris ou um cortejo báquico encontramos uma deusa mãe coroada com o cálato.
Obviamente
que os pergaminhos destes autores não permitem ter mais certezas do que
as obvias dúvidas que eles aqui explicitamente manifestam.
Figura 8: Hércules metido no 3º Trabalho enfrenta, com ajuda de Atena, a ira de Artemisa & Apolo por causa da captura da corça de Cerínia.
No entanto, a patente equidistância em que Apolo
se colocam entre as duas primeiras figuras femininas não nos permitem
ter as mesmas certezas dos autores sobre a sua edificação tanto mais que
a segunda não parece ser Diana / Artemisa por não manifestar
nenhum dos atributos pictográficos desta e, pelo contrário, ter
atributos que esta nunca manifesta na tradição helénica.
Figura 9: Quel
rapport les Sirènes ou les âmes peuvent-elles avoir avec ces
personnages? C’est ce que nous ignorons; et pourtant l’intelligence
complète du monument en question dépend de l’appréciation de cette
circonstance. (Gerhard, Eduard, Auserlesene Griechische Vasenbilder, hauptsächlich Etruskischen Fundorts; Band 2)
De facto, a ser como os autores decidem neste vaso Diana pareceria ser de Éfeso por ter à cabeça uma tiara que no contexto da cena seria mais natural na cabeça de Deméter.
Figura 10: Apolo entre duas deidades das quais uma coroada com o kalathos.
Assim
sendo, pode acontecer que a legenda não aponte directamente a primeira
personagem da cena mas antes distinga a principal que pela altivez de
porte domina a porção central dum cena de concurso hípico que tem Hermes por juiz e não pode ser uma vaga alusão à busca da filha que Deméter fez a pé pelo mundo fora mas só e apenas a Deméter Chaminé uma
das patrocinadoras dos jogos Olímpicos cuja sacerdotisa do santuário
local era a única mulher que tinha direito de assistir às competições.
Chamyne (Chamunê), a surname of Demeter
in Elis, which was derived either from the earth having opened
(chainein) at that place to receive Pluto, or from one Chamynus, to whom
the building of a temple of Demeter at Elis was ascribed. (Paus. vi.
21. § 1.)
Figura 11: Cortejo báquico em que Artemisa, identificada pelo arco e por fazer par com o irmão gémeo Apolo, aparece com o cálato.
De qualquer modo, estamos perante uma situação ambivalente porque, se o cálatos era comum em Deméter, também é verdade que na Grécia arcaica, especialmente em Éfeso, Delos, Aetolia, Esparta e Arcadia, era comum em Artemisa enquanto Pótnia Teron.
Figura 12:
Apollon, vêtu d’une tunique talaire, est assis sur un ocladias, et fait
résonner les cordes de la lyre. Devant lui se tient Diane, coiffée de
la tiare ou modius, et reconnaissable à l’arc qu’elle porte dans la main gauche. (Gerhard, Eduard, Auserlesene Griechische Vasenbilder, hauptsächlich Etruskischen Fundorts; Band 2)
No entanto, as vicissitudes do panteão Olímpico terão sido de tal modo atribuladas, na vã tentativa de converter Artemisa ao patriarcado, que as representações desta deusa vão acabar por ser confundidas com outras.
Les
planches précédentes nous ont montré Apollon accompagné d’une ou de
deux déesses. Nous avons vu que ces déesses peuvent rece voir différents
noms, quoiqu’au fond elles ne soient autres que Latone et Artémis.
Ainsi pl. X, XI et XXV, c’est Artémis qui est placée en face ou près de
son frère. Pl. XII, cest la nymphe Daphné, la même que l´Artémis
Daphinœa. Sur la pl. XIII, le nom de Creuse paraît convenir à
l’hiérodule qui porte la phiale et l’œnochoé. (…) la pl. XXXIII, Déméter et Artémis; la pl. XXXIV, Déméter Thallophore et Artémis Daphnœa; (…).
Quelquefois
même, au lieu de deux déesses, nous en trouverons trois et même jusqu’à
quatre. Nous verrons par la suite quelles modifications ces réunions
apportent aux noms de ces déesses. Les deux Muses se changent en trois
et en quatre, et ces mêmes déesses peuvent figurer les Grâces ou bien
les Heures. C’est ce qui résultera de l’étude dês planches suivantes. — Charles Lenormant &Jean de Witte.
Figura 13:
PLANCHE XI. L´amphore bachique à figures noires, gravée pl. XI, est
connue par l’atlas qui accompagne l’ouvrage de Micali. Cette amphore a
passé de la collection du cardinal Fesch au Musée Britannique. Apollon
et Diane sont placés en face l’un de l’autre. Le dieu, revêtu d’une
longue tunique blanche, recouverte d’un manteau brodé, joue de la
cithare; Diane a un riche vêtement phénicien, avec des ornements
quadrillés; sa tête est surmontée de la tiare, ou cidaris, autre attribut qui rappelle l’Asie et la Diane Persique ou Anaitis. — Elite des Monuments ceramographiques, Charles Lenormant &Jean de Witte.
Outras deusas mães helénicas transportaram o kalatho à cabeça particularmente Hera,
a rainha-mãe dos deuses olímpicos como se comprova nas cenas seguintes
do julgamento de Paris, concurso de beleza mítico que acabaria por ser
um reflexo das polémicas teológicas do início do patriarcado olímpico e
das reformas do panteão anatólico decididas por Tudália IV antes da
guerra de Tróia e no início do movimento dos “povos do mar”.
Figura 14: Representação do julgamento de Páris onde Hera aparece transportando um majestosa kalathos.
Hera terá
sido sempre uma deusa mãe muito antes de o panteão olímpico a ter
escolhido para esposa do rei dos deuses como o demonstram os seus cultos
mais arcaicos espalhados por todo o mundo helénico.
Hera
was especially worshipped, as "Argive Hera" (Hera Argeia), at her
sanctuary that stood between the former Mycenaean city-states of Argos
and Mycenae, where the festivals in her honor called Heraia were
celebrated. "The three cities I love best," the ox-eyed Queen of Heaven
declares (Iliad, book iv) "are Argos, Sparta and Mycenae of the broad
streets." Her other main center of cult was at Samos. There were also
temples to Hera in Olympia, Corinth, Tiryns, Perachora and the sacred
island of Delos.
Figura 15: Outra variante do julgamento de Páris em que Hera aparece também coroada com ao cálato.
Figura 16: Ilítia fazendo o parto de Atena com a ajuda de Hefesto.
Coroada foi também Ilítia, uma arcaica deusa mãe do parto mas que na verdade não seria senão uma arcaica variante de Hera / Eire ou seja Eirí-tia.
Ilitia < Eilei–thyia = Deia Eile > Eire, Eiru ou Erene < Ker > Hera.
Artemisa < Kartu-misha < Ker-Te-Ma = Te-Ma-Ker > Deméter.
The-Ma- | ter < Ker > Ceres.
A CÍTARA DA DEUSA MÃE
Não será por acaso que a Deméter Cidária coroada com o cálato apareça nas representações dos vasos gregos quase sempre rodeada de Apolo Citaredo suspeitando-se que algures na evolução da mitologia egeia Artemisa foi confundida com Leto e que ambas seriam variantes de Deméter Cidária e esta seria afinal a deusa da “arcadian dance called kidaris” que
mais não seria do uma “dança de roda” e um canto de lamentação de morte
e ressurreição solar que seria acompanhada com a cítara tocada pelo
divino Apolo Citaredo que mais não seria também do que uma variante do “deus menino”. Por ser uma “dança
de roda” ficou associada à cobertura de cabeça feita primitivamente de
vegetais secos entrelaçados em cesto de que resultou o kidaris real.
Ora, é inevitável não relacionar a cítara e a coroa real que era o kidaris com a lenda mitológica do cipriota Ciniras e do bíblico rei David.
First,
several traditions held that Cyprus was not Kinyras’ original home,
which is variously located in Cilicia, Phoenicia, or Syria/Assyria.
Second, a few sources make Kinyras a musician, or associate him with professional musicians. Commenting on the Iliad passage cited above, Eustathios, twelfth-century archbishop of Thessalonica, asserted that Kinyras was named from the kinýra. This is the ‘Greek’ word that in the Septuagint commonly renders Hebrew kinnōr, the lyre famous as the instrument of King David. This etymology once seemed plausible to many. In the Golden Bough, Frazer astutely compared Kinyras to David. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
O
rei Cíniras (em grego, Κινύρας – Kinuras) de Chipre, de acordo com a
mitologia grega, foi um filho de Sandocus e ”Pharnace e marido de
Metharme, filha de Pigmaleão […].
15
El Atrida alzó la voz mandando que los argivos se apercibiesen, y él
mismo vistió la armadura de luciente bronce. Púsose en torno de las
piernas hermosas grebas sujetas con broches de pláta, y cubrió su pecho
con la coraza que Ciniras le había dado por presente de hospitalidad. — Homero Iliad 11.15 – 23. (…)
Segundo o comentarista humérico Eustásios foi este o mito de Ciniras:
Kinyras
… was a son of Theias, according to some; he was a very wealthy king of
Cyprus, who hosted the Achaeans when they came, promising that he would
also send necessary supplies to Troy. But they say that after
defaulting he was cursed by Agamemnon. [They] also [say] that he perished competing musically with Apollo—because he was an expert in music; which is even why Kinyras was named by derivation from the kinýra—while his daughters, fifty in number, leaped into the sea and turned into halcyons. (…)
Madness
and arrows aside, a king’s curse provoking a musical contest seems a
very tenuous link. Agamemnon’s anger finds a more natural sequel in a
Cypriot tradition treated by Theopompos, whereby the Mycenaean king and
his men drove Kinyras from power. Conversely,
the many fatal confrontations between Apollo and upstart musicians
strongly suggest that Eustathios’ contest was originally a self-standing
myth. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
Porém o mito de Esmirna, a mãe de Senhor Adónis, levanta a suspeita de que o de Ciniras também não seria muito linear.
Segundo
Pseudo-Apolodoro, seu pai era Thias, rei da Assíria. Antonino Liberal
menciona que Thias, pai de Esmirna, era filho de Belo e da ninfa
Oreithia. Segundo (Pseudo-)Higino, seu pai era Cíniras, rei da Assíria, e
sua mãe Cenchreis. Pseudo-Plutarco, citando como fonte as Metamorfoses
de Teodoro, apenas menciona o nome do seu pai como Cíniras. Ovídio
menciona o nome da mãe, Cenchreis, e do pai, o rei Cíniras, filho de
Pafos, a filha que Pigmalião, rei de Chipre, teve com a estátua animada
de Afrodite. – Wikipédia.
Como sabemos, o mito de Adónis é uma mera variante fenícia do mito do bíblico Tamuz que
por sua vez seria uma arcaica mitologia suméria relacionada com os
cultos de morte e ressurreição solar consubstanciado sobretudo no mito
do decesso de Inana aos infernos do Kur para reclamar a soberania sobre os domínios de sua irmã, a rainha da Noite que era Erechquigal.
No entanto, este mito teria sido começado a construir muito mais cedo
possivelmente no mar Egeu onde deu origem a uma grande variedade de
mitos de morte e ressurreição solar curiosamente a maior parte deles com
epicentro em Creta, mas de que pouco sabemos por causa da destruição
abrupta da civilização minóica por volta do século 16 antes de Cristo.
Portante, o aparecimento de um mito de Adónis em Chipre, rodeado
de personagens de origem caldeia, apenas reflecte a época anterior a
crise dos “povos do mar” na qual ainda existia alguma relação entre a
cultura do mar Egeu e a cultura Caldeia por intermédio da cultura Síria
de Ugarit. No entanto esta origem caldeia identificada por helenistas é
já suspeita de contaminação de diversas origens porque se é fácil de ver
em Belo uma referência a Bel Marduque ou a Baal ugarítico
já não é tão fácil identificar Theias ou Thias com alguma entidade
divina caldeia sobretudo por ser um nome com estrutura tipicamente egeia
visto ser quase literalmente o nome da titânide Theia, a grande mãe do
céu primordial, possivelmente esposa do deus da abóbada celeste o
hipotético deus *Tegão enquanto variante de Dagon. Dito de outro modo, Theias seria então uma variante até agora ignorada de Dagon.
Hesiod,
Theogony 132 ff (trans. Evelyn-White) (Greek epic C8th or C7th B.C.):
"She [Gaia, the Earth] lay with Ouranos (Uranus, Sky) and bare
deep-swirling Okeanos (Oceanus), Koios (Coeus) and Krios (Crius) and
Hyperion and Iapetos, Theia and Rhea, Themis and Mnemosyne (Memory) and
gold-crowned Phoibe and lovely Tethys. After them was born Kronos
(Cronus)."
Her
name was derived from the Greek words thea "sight" and theiazô
"prophesy". She was also named Aithre (Aethra) Blue – Sky and Euryphaessa Wide – Shining.
Cíniras e Apolo, seu pai, organizaram
um concurso musical para ver quem era o melhor tocador de cítara.
Cíniras perdeu e matou-se sendo as suas filhas, que se afogaram por ele
num vale de lágrimas, transformadas em pássaros guarda-rios, de longos
lamentos pelas almas que voam para ao céu dos pardais.
Este mito, quase estúpido, de uma competição suicídia com o próprio “deus pai”, o divino Apolo, encobre
mal outras versões do mesmo mito musical, não menos estúpidas, como a
de Lino, de Tamiris e de Mársias. Lino, inventor da música elegíaca era
tocador de lira e por isso filho de Apolo e de Urânia (ou Calíope, literalmente a cobra Kali, a tão bela quanto o fogo sagrado!) mas mesmo assim morreu à pancada com um aluno robusto como seria Hércules com 18 anos se é que não foi morto por vingança de Apolo
por ter usado cordas de linho e colocado a sua música ao nível da do
próprio deus. Pelos vistos a dos artistas musicais foi trágica desde
sempre.
The traditional cry aílinon, understood by the Greeks as ‘Ah, Linos!’, is often thought to derive from a Semitic phrase ‘Alas for us!’ — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
(Ver a interjeição francesa Hélas = Ai de mim!)
Figura 17: Competição musical de Mársias e Apolo.
Tamiris, neto de Apolo, caiu na asneira de desafiar as Musas
para um concurso musical que obviamente perdeu tendo por isso ficado
cego de raiva e perdido a capacidade de cantar o que afinal pouco mal
lhe teria feito porque foi o primeiro a usar da lira em «guitarradas»
sem a companhia da voz. Porém o mais arcaico destes mitos foi o do
esfolamento bárbaro de Mársias às mãos de Apolo feito um Nero
vingativo por aquele sátiro ter ousado desafiar o deus imperador a
provar quem seria o melhor músico do mundo (e assim comprovar a
superioridade da cultura grega, representada pela lira de Apolo, em relação à asiática, representada pela flauta de Marsias…objecto musical que afinal era um filho enjeitado de Atena.
Como
sabemos este mito encobrem realidades muito mais obscuras e odiosas dos
tempos arcaicos pré neolíticos onde a violência sagrada ultrapassava de
longe a realidade cruel da luta natural pela sobrevivência e onde os
sacrifícios humanos e os rituais de tortura sagrada seriam ta selvagens e
primitivos como ainda aram os da cultura sagrada dos ameríndios à época
dos descobrimentos.
O importante é verificar que a relação que terá existido entre Ciniras
e a Artemisa, a Deusa Mãe arcaica a quem afinal eram votados os mais
sagrados de todos os sacrifícios, os humanos passará pela sua
identificação do próprio Apolo de quem seria filho…por ser a própria
cítara divinizada.
And the early Greco-Lesbian tradition maintained that the kithára was formerly called ‘Asiatic’ because of its association with Lydia—that is Así(w)a, Hitt. Aššuwa. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
Figura 18: Decoração em lápis-lazúli de uma harpa Suméria representada no 3º painel como vaca sagrada de Inana. Gilgameche, o amado de Inana, aparece no 1º painel.
In the case of the kinnāru — an early WS or areal form, cognate with both Heb. kinnōr and ‘Gk.’ kinýra —
d(iĝir)is followed by a second determinative, giš (‘wood’), which in
Mesopotamian lexical texts classifies objects made entirely or
substantially of wood, including stringed-instruments. So there is no doubt that we are dealing with a physical Lyre that was somehow regarded as Divine.
The knr, however, is a partial exception to this rule. The word itself, like most ancient instrument names, is of obscure origin. Nevertheless, the Jewish kinnōr was clearly not a harp — as rendered in the King James Version — but a kind of lyre. This is seen first in its common translation as kithára in the Septuagint. (…) The oldest known form of the word is kinnārum, found at the important North Syrian site of Ebla (ca. 2400), written variously as gi-na-ru12-um, gi-na-rúm, gi-na-lum. It
was glossed there as Sum. BALAĜ, an important identification given the
abundant evidence for the divinization of the balang in early
Mesopotamia. (…)
Related to this linguistic puzzle is the inevitable kinship of kinnārum with both the zinar of Hattian/Hittite tradition, and the zanaru/zannāru of Sumerian and Akkadian. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
|
Ciniras < Gk. Kinýra < kin-nā | ru < lu > *kinaur > Hebr. Kinnōr.
Existe
uma tece muito bem construída de Franklin, John Curtis de que Siniras
teria sido, na cultura levantina pelo menos, um deus da «cítara» ou
seja, o deus da lira personificada baseada sobretudo no facto de que o
termo para cítara ser de uma forma quase universal na história antiga o
mesmo de origem suméria onde o Balang (Harpa) já era deificado.
Nan-nar = son of Enlil; Na-Ri-Ga = Ritual purification; Naru = River of death; Nar, Naru = Musician; Singer; One;
Como sabemos, Nanna é a forma elíptica de Nannar e era o deus da lua filho de Enlil e Ninlil. De acordo com a lógica aglutinante da língua suméria podemos postular que Nannar teria sido a forma evolutiva de Nin-Naru, o senhor do rio dos mortos (= naru < Nero > Nino-lu > Nilo), responsável pelos ritos mortuários de purificação (Sumer: Na-Ri-Ga),
deus dos músicos e cantores por ser o deus lunar dos dolorosos uivos
caninos à lua cheia que seria a metáfora natural primitiva dos gritos e
cantos de lamentação que por serem a solo levaram os sumérios dar a naru também o significado de um só.
Na cosmologia suméria, as almas dos mortos tinham que andar no deserto para depois atravessarem o rio Hubur em direcção às terras montanhosas do Kur. É assim inevitável ter que derivar o «sagrado» nome do rio os mortos do reino destes onde aquele nascia nas entranhas do Kur.
Hubur < Ku-Wur < Kau-Kur > Sakur > Sokar > Sacará.
Inanna < Hin Ani-na < *Kin-Anu-Ana.
Claro que o Nilo parece ter pouco ou nada a ver com o rio dos mortos Hubur mas a verdade é que é perto do início do Delta do Nilo que fica a região de Sacará onde se encontrar o complexo funerário de Djoser confirmando-se que o Nilo foi também um rio dos mortos e de purificação fúnebre. Se Nin-naru era o deus lunar dos lamentos Kin-naru seria Enki, esposo de (Dam)Kina, Gina (étimo grego de mulher), Thina, Diana ou Dione,
deusas igualmente lunares e dos lamentos da deusa mãe da do parto da
aurora e da morte violente do deus menino solar no por do sol e que era Ker / Kurija / Taveret e Hator, Inana / Istar entre todas as outras. O sol era Rá no Egipto, por ser filho ou esposo de Reia, a deusa mãe fila de Gaia que por ser Re-Gina deus nome a todas as Reginae Coeli de todos os tempos, templos e religiões.
Notar que é bem possível que Inana tenha sido originalmente *Kin-Anu-Ana, a deusa suméria Damkina, mãe e esposa de Enki, a deusa do útero…e do «cono» ou gala, a vulva da deusa mãe de onde escorriam as águas da vida eterna de que Enki era o benfeitor e guardião!
Por isso mesmo é que a cítara era considerada o instrumento das lamentações de Inana / Istar. Então, Ciniras seria em Chipre o sacerdote Gallatur / Gallu de Istar que por vicissitudes da história mítica partilhava parte dos poderes obscuros de Anubis / Apolo Scotaios tendo por isso acabado como encarnação da cítara das sagradas lamentações de Istar / Inanna.
Os Gala (acádio: Kalu < Kal-lu > gal-lu, lit. “grande homem”) eram sacerdotes da deusa suméria Inanna, eunucos funcionários do grupo de cantores dos templos e palácios das cidades-estados da Mesopotâmia.
Originally
a specialist in singing lamentations, gala appear in temple records
dating back from the middle of the 3rd millennium BC. According to an
old Babylonian text, Enki created the gala specifically to sing "heart-soothing laments" for the goddess Inanna.
(…). Their hymns were sung in a Sumerian dialect known as eme-sal,
normally used to render the speech of female gods, and some gala took
female names. Homosexual proclivities are clearly implied by the
Sumerian proverb that reads, "When the gala wiped off his anus [he
said], ‘I must not arouse that which belongs to my mistress [i.e.,
Inanna]". In fact, the word gala was written using the sign sequence
UŠ.KU, the first sign having also the reading giš3 ("penis"), and the
second one dur2 ("anus"), so perhaps there is some pun involved. — From Wikipedia, the free encyclopedia.
Portanto, sendo assim como Franklin, John Curtis discorre, os kinarýzesthai de Chipre eram eunucos com as funções próximas dos gala sumérios possivelmente no papel específico de tocadores de cítara.
Porém, esta tese esbarra obviamente com a evidência da supremacia do termo «cítara» no mundo egeu em oposição com o kinar- semita e com o facto de não haver grandes certezas sobre a genuína existência de termos gregos como kinarýzesthai construídos a partir do étimo semita. De facto, os dicionários da “Perseus Digital Library” só identificam termos gregos em kinar- relativos
a alcachofras que aparentemente têm muito pouco a ver com a «citara». É
assim quase seguro que os termos do grego clássico em kinar- devem corresponder a regionalismos cipriotas.
There is sufficient evidence to show that kinýra was once but one of several adaptations of knr
in the Eastern Mediterranean. The Greek lexicographic tradition has
preserved a few sparse traces of Syrian (i.e. non-Canaanite/Phoenician)
originals. Thus, alongside Homeric kítharis (‘lyre-playing’ and later ‘lyre’), one finds the parallel kínaris.
It is impossible to say which form was modeled on the other; perhaps
they developed side-by-side. Still more striking, Hesykhiοs has an entry
for a verb kinarýzesthai, which he defines as “to lament with groaning.”
|
The derivation of this remarkable word from knr is again justified by the evidence, ANE and Greek alike, for the lyre’s association with lamentation (Chapter 12). And the upsilon of kinarýzesthai surely echoes the ancient Semitic form kinnāru(m), found at Ebla, Mari, and Ugarit. It
is thus potentially quite old in Greek, given the EIA evanescence of
inherited final vowels in Aramaic, Phoenician, and Hebrew. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
Ora de forma surpreendente uma lápide votiva encontrada em Chipre parece ter revelado a existência local de um Apolo Kenyristḗs em contraponto com o reconhecido helénico Apolo Citareu.
In
1959, a marble slab was discovered in secondary use at a church in the
village of Nikokleia, near Palaipaphos. It contains an oath of
allegiance to Tiberius, taken by the Community of Cyprus on the Roman
emperor’s accession in 14 CE. Several gods are invoked as witnesses:
[νὴ
τ]ὴν ἡμετέραν Ἀκραίαν Ἀφροδίτην κα[ὶ] | τὴ[ν ἡμ]ετέραν Κόρην καὶ τὸν
ἡμέτερον Ὑλά|τη[ν Ἀπόλλ]ω καὶ τὸν ἡμέτερον Κε[ν]υρ̣[ι]σ̣τὴν (Cayla 2001:
Κε[ρ]υν̣ή̣την Mitford 1960c) | Ἀπόλλω καὶ τοὺς ἡμετέρους Σωτῆρας |
Διοσκούρους καὶ τὴν κοινὴν τῆς νήσου | Βουλαίαν Ἑστίαν καὶ θεοὺς θεάς τε
τοὺ[ς] | κοινοὺς τῆς νήσου πατρῴους καὶ τὸν | ἔκγονον τῆς Ἀφροδίτης
Σεβαστὸν Θεὸν | Καίσαρα καὶ τὴν Ἀέναον Ῥώμην καὶ τοὺ[ς] | ἄλλους θεοὺς
πάντας τε καὶ πάσας κτλ.[2] (…)
Kenyristḗs should therefore simply mean ‘the kinýra-player’, and kinyrízein ‘to play the kinýra’. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
Mas,
como seria quase de suspeitar, este deus cítara divinizada teria que
está ao serviço do culto da deusa mãe acima coroada com o cálato.
The god Sun rises, the invoker invokes [and] the lamenters (na-ti-lu) intone their lamentation — The Goddess Nintu Who is Angered. And ‘that which makes to shine’ [i.e. aromatic oil] makes its request to do so. [And Nin]tu [makes sh]ine the new Kura, the new Barama, the new king, the new qu[een].
The text appears to preserve the incipit of an actual lamentation. The
song’s character is confirmed by the rite’s outcome, since the
‘angered’ goddess is induced to “make shine” the royal couple. In
Sumerian tradition, Nintu was a goddess of childbirth whose powers
became associated specifically with the begetting of kings. So this was evidently a kind of symbolic rebirth. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
Na verdade, Nintu era bem mais do que uma mera deusa do parto porque era a grande Deusa Mãe dos caldeus, Mamma ou Mami (mãe), também conhecida como Nin-mah (Augusta Senhora), Aruru, de que deriva a Aurora romana, Nin-hursag, senhora montanha sagrada, e sobretudo Ki, a Dam-kina (a esposa fiel) de Enki. O símbolo de Nuntu / Ki / Nin-hursag era
nem mais nem menos do que o ómega grego (Ω) que figurativamente é a
silhueta de um útero, que era também por sinal o símbolo da vaca Hator.
Por isso mesmo natural seria que a cítara tivesse que ser um
instrumento musical de culto da deusa mãe…como o sistro era
reconhecidamente de Ísis e os címbalos e pandeiros eram de Cibele.
We have seen that both kinnāru and zannāru were defined as ‘Inanna-instrument’ (za-anMÙŠ, giš.zaMÙŠ) by Mesopotamian scribes probably already in the OB period. An equivalent expression, giš.dINANNA, is well-attested in Hittite sources.
That this ‘Inanna-instrument’ was normally (if not exclusively) a lyre
in the Hittite world is established by several sets of overlapping
evidence. (…)
We may reasonably deduce that such formal divisions of gods typically entailed parallel musical transplantations. The dividing ritual presents, mutatis mutandis, just the context and combination of elements needed to explain the arrival to Cyprus of a Divine Kinnāru
beloved of ‘Aphrodite’ — recalling Kinyras’ intimate relationship with
the goddess, and the Divine Balang Ninigizibara’s treatment as Inanna’s
counselor and husband. (…)
Given
that musical syncretism, a phenomenon well known to ethnomusicology,
occurs precisely around the most compatible features of two traditions, Cypriot Kinyras would naturally have become secondarily associated with the Phoenician cult-music which underlies the large *kinnūr ensembles of the symposium bowls and the ‘singers’ maintained by Astarte’s temple at Kition. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
*Kinnūr ó Kition + ur > Kiti(an)ur = An Kiti-ur
=> *Kitaur > Afrodite | Quitéria < Cytherea ou Kythereia
= que nasceu na cidade de Kithira, Cythera, Kythera and Kithira.
ó Deméter Cidária > Κιθάρα = citara > «Guitarra».
What either would have been called in this period cannot of course be verified. Yet Aphrodite’s epithet Kythéreia, which many have seen as a feminine version of the name Kothar, provides a probable way forward. The pairing of Kothar and Kythéreia (or rather a pre-Greek forerunner of the name)
would also conform to the well-attested ANE pattern of male and female
divine couples sharing a name. Yet the hypothesis that a form of Kothar
was present on Cyprus in the LBA — whether as a local interpretation of
an indigenous smith-god, or in some more active guise — potentially
returns us to Kinyras, as the two figures were eventually syncretized,
most clearly on Cyprus itself. (…)
It
is true that traditions of Phoenician settlement on Kythera — including
the island’s sanctuary of Aphrodite Ourania and the eponymous Kytheros
son of Phoinix — might be sufficiently explained by EIA trade
expeditions. Yet
a deeper connection between Kythera and Kothar is well supported by the
god’s persistent link to Minoan Crete in Ugaritian legend — “Kaptara is his royal house, Egypt is the land of his inheritance.” (…)
Figura 19: The island Kythera – Chora and the Kastro.
One might even speculate that Ug. ‘Kaptara’ itself derives from Kothar, at an earlier linguistic stage than he is found in the Ugaritic texts (< Kawṯar-?).
A cuneiform inscription found on Kythera — relating to Naram-Sin of
Eshnunna (ca. 1712–1702 BCE) in far-off Babylonia — helps compensate for
the lack of contemporary Levantine material on the island, where a
Middle Minoan presence is however well documented.
Conclusion:
I propose that Kinyras, Kauthar, and Theias are three names for a
single complex Byblian figure in whom a Kothar was fused with a Divine
Knr independent of Ugarit. (…).
In 1938, soon after Kothar was resurrected at Ugarit, H. L. Ginsberg proposed connecting kítharis and kithara — common Greek words for lyre-playing and lyre, respectively, and of no certain etymology — with the Sem. √kṯr from which Kothar also came. (…)
Root
|
Lyre
|
God
|
knr
|
kinnāru/kínaris/kinýra
|
Kinnaru/Kinyras
|
kṯr
|
kithára/kítharis
|
Kothar
|
When
one considers that Kothar and Kinyras were variously confounded in
Phoenicia and Cyprus; that Syro-Levantine and Cypro-Aegean lyre-types
coexisted on Cyprus probably from the time of Aegean immigration in the
twelfth century, and certainly by the ninth (Chapter 11); and that it is
precisely on Cyprus, the eastern rim of the early Greek linguistic
continuum, that Kinyras most conspicuously survived in an expanded form
that incorporated Kothar-like powers — under these very particular
circumstances, it would be remarkable indeed if the mirror-image
lyre-terminology were accidental. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
A
proposta de Franklin, John Curtis que faz passar a correlação entre o
semítico nome da lira, Kinnaru e o seu equivalente nome grego na forma
de cítara passando pelo mito de Kotar & Hasis é interessante mas não inteiramente necessária na medida em que o facto mais incontornável é o de que Kythera é o nome da ilha onde nasceu Afrodite, por sinal equivalente da egípcia Hator e por outro lado porque Kotar não é senão a forma fenícia de Enki cuja relação com Istar também é incontornável. Na verdade, se Franklin, John Curtis reconhece a importância do nomo ugarítico ‘Kaptara’ como derivando de Kotar então deveria também aceitar que bem pode ter sido a deusa de Creta, *Ker-tu / Kurija,
senhora da vida e da morte, a dar o nome à «cítara» de quem era o
sagrado e divino instrumento de lamentações sendo portanto o nome de Kothar & Khasis muito
mais provavelmente derivado daquele aliás pela razão adiantada no mesmo
texto brilhante e exaustivo de Franklin, John Curtis e que era a de os
deuses do bronze fazerem frequentemente casais do mesmo núcleo nominal.
De resto, o étimo toponímico –thera é sobejamente
conhecido no mar egeu até porque foi a explosão do seu vulcão da ilha de
Thera que provocou o fim da civilização minóica. Kithera seria então
uma mera redundância em torno do nome de Ki, afinal Nintu a grande deusa mãe do parto e da aurora que em Creta era Kurija / Kertu e no Egipto Hator / Taveret.
«Creta» < Ker-ta < Kur-isha > Kurija ó Ish-Kur > Ish-Tar
< Ki-ki-Taur > Kiwithera > Kythera > A. Quiteria
ó Deméter Cidária => «cítara».
> Ki-ki-Taur > Kawi-tar > Kaphi-tar > Kaptor > Kawtor
> Hator > Kawṯar > Kauthar > Kothar-wa-Khasis.
Em
conclusão, parece ser mais lógico derivar o nome do filho do da mãe do
que acontecer o inverso. Por outro lado, é aceitável que Kotar tivesse
em Chipre um deus equivalente denominado Cinaris a partir do nome
ugarítico da cítara de que afinal seria a representação viva. De resto
não existam vias etimológicas unidireccionais e exclusivas de um termo.
Uma equação semântica produz termos vários pelo caminho todos
interligados no emaranhado da teia linguística como cerejas num açafate.
Kythera is known as the birthplace of Aphrodite,
the goddess of love and beauty. According to legend, she was born from
the seed of Uranus, the God of Heaven, when his genitals fell into the
sea after they were cut off by his son Cronus. Aphrodite rose from the
foam of the sea. After she had risen Zephyrus, the West wind, blew her
in a shell to Cyprus. (…) The island has been under the influence of both the Minoan and the Mycenean empire.
Κιθάρα = cítara > «Guitarra».
Κιτρέα (= limoeiro) < *Kitereia < Kythera < Kau(phi)tara
Κίδαρις = barrete frígio, turbante persa, prob. <= Κίταρις => τιάρα
< tihara < kithara Kidaria < Ki-| Thar < Tar < Kar < Kur >
< Ku-kur.uto < Ki-kur = Kur-ki > Kurkika => κυρ-βασία.
Figura 20: Medusa com Pégaso ou Deméter com Arião?
«Cocruto»
= Topo da cabeça; ponto mais alto da cabeça ao redor do qual estão os
cabelos. < Calombo; parte inchada e saliente que aparece na
superfície do corpo. < Vértice; a parte mais alta ou elevada de
alguma coisa; o ápice de algo.
Most of the riders wear bashlyks. The bashlyk is
a head covering with long side flaps or a cowl, usually indented at the
top, and possibly made of felt or leather. This popular headdress is
variously referred to as a kurbasia, kidaris or tiara in ancient sources (Herodotus, Histories 1.132.1, 3.12.4, 5.49, 7.61.1, 7.90) and usually associated with Scythian, Persian or Thracian wearers. Distinguishing between kurbasia, kidaris and tiara is a problematic issue since these three terms seem to have been used interchangeably. — The sculpture of the Heroon of Perikle at Limyra: the making of a Lycian king, Tuna Şare.
Como
é habitual a ordem etimológica racionalista clássica é quase sempre
colocada às avessas, sendo os deuses que recebem nomes de trivialidades e
não o inverso. De facto, deve ter sido Deméter Kidaria a dar também o nome ao ferro meteórico e sideral e não a inversa pela via da magia da transmutação dos metais.
«Sidéreo» < Lat. sidereu < Grec. síderos (= ferro) < Ki-| Ther < Ker
> Ter | > Afrodite Quitéria.
Ver: AFRODITE, A DEUSA POLIMORFA / AFRODITE CIPÍRIA (***)
No frontão do templo de Artemisa em Corfu é representada uma Medusa. Sendo incomum Artemisa não ser representado no frontão do seu próprio Templo, a Medusa pode representar o lado ctónico e arcaico de Artemisa, uma vez que ambas as entidades eram Pótnia Teron, a senhora e rainha de todos os animais, como Anahita persa, deusas mães cujo maior poder era o da vida e da morte da natureza.
Na
verdade o que une todas as deusas gregas coroadas com o kalathos é o
facto de serem todas variantes da mesma arcaica deusa minóica da vida e
da morte equivalente da Egípcia Taveret e seguramente da fertilidade agrícola e que em Creta seria Ker ou Kurija e veio a ser a arcaica Artemisa na variante de Medusa a que trazia sempre ao colo o cavalo Arião (< Arian < Karian < Ker-i-an), filho reconhecido de Deméter.
A “CESTA MÍSTICA” DA DEUSA MÃE
Figura 21: M.
Gerhard, qui le premier a publié la peinture reproduite sur la pl.
XLII, a reconnu dans les six femmes qui y sont représentées, Céres reçue
à Éleusis par Métanira, la femme de Céléus, qui lui présente la boisson
mystérieuse, le cycéon. Nous avons exposé (*) les raisons qui nous font
rejeter cette explication pour lui préférer les nymphes Méliades et les
Hespérides. (…) Trois de celles qui sont debout, les Hespérides,
portent des branches auxquelles pendent les pommes d’or; la quatrième
présente un calathus rempli de laine à la nymphe, assise au centre de la
composition.
A
semântica da maior parte dos termos envolvidos na origem da coroa da
deusa mãe estão relacionados com objectos circulares usados no topo da
cabeça e reportam-nos para o conceito muito mais arcaico da deusa mãe
como senhora dos montes da aurora e que tem como símbolo sobretudo o
«cálato».
Em boa verdade o mais provável é que se trate mesmo de Démeter e Metanira (< De-Metra-nia) esta aqui no papel de Hecate, a consoladora, que ao romper da aurora se aproximou da profunda escuridão da tristeza de Deméter com uma candeia na mão exclamando:
“Senhora Deméter, portadora das Horas
E doadora de esplêndidos presentes,
Qual dos deuses do céu ou qual mortal te raptou a filha Perséfone.
E trouxe essa tão profunda tristeza à tua querida alma?”
— Hino Homérico a Deméter.
Cálato
(em latim: κάλαθος; transl.: kálathos; em latim: Calathus) era, na
Grécia Antiga, um cesto feito de vime ou junco para guardar novelos de
lã ou para carregar frutos, flores e queijo. Como fiar era uma das
principais atividades das mulheres, são muitos os vasos gregos que
retratam o cesto no interior do gineceu. Por extensão do sentido, cálato
também é o nome de um vaso para armazenar leite. Pelas funções a que se
prestava, o cálato também era um emblema religioso: Atena ensinou às
mulheres a arte da tecelagem; Deméter era a deusa da colheita e Gaia, da
abundância. Por conseguinte, o cesto tinha funções específicas nos
mistérios de Elêusis e era colocado sobre a cabeça das estátuas de
algumas divindades.
A.v.
Καλλαβίς. καλαβοίδια (i.e. καλαϝοίδια), τά, hymns in honour of Artemis,
Id. (καλαβοῦτοι cod.); cf. Καλαοίδια. καλαβρίζω , καλαβρισμός, v.
κολαβρ-. καλαβρός: βάρβαρος, Id. καλαβύστας: τοὺς κωλώτας (Argive), Id.
Figura 22: Representação
de Gérard do mesmo vaso anterior com muito mais detalhes e melhores
acabamentos com cores restauradas pelo autor deste texto.
(*) Trois de celles-ci portent des branches chargées de fruits; la
quatrième présente à l’une de celles qui sont assises un objet que M.
Gerhard (1) a cru être un vase rempli du cycéon, mais qui ne peut être
qu’un calathus propre à renfermer les ouvrages de femme. La seconde
figure assise est couronnée de feuillage et prend la main d’une des
femmes qui tiennent les branches chargées de fruits.
La
circonstance qui a fait que le menton de la première femme touche le
bord du calathus doit être considérée comme purement accidentelle. Ce
n’est point ainsi qu’un artiste grec aurait représenté l’ardeur avec
laquelle Cérès, après un long jeûne , se jette sur la boisson sacrée. La
pantomime des deux figures indique suffisamment l’action: l’une, éten
dant ses mains vides, montre qu’elle n’a plus de laine à filer, l’autre
lui apporte dans le calathus la matière dont elle a besoin pour
continuer son travail.
Figura 23: Sur
la pl. XXXVI B on trouvera la représentation fort rare dês nymphes de
la mer, et quant à la pl. XXXVI A, qui sur l’original sert de revers à
la scène précédente, elle nous montre, non point le moment précis de la
contention des deux divinités qui prétendaient à la possession de
l’Attique, mais l’instant où la victoire étant déjà assurée à la fille
de Jupiter, le rival de celle-ci se retire devant elle. (…)
Des
couronnes de plantes marines ceignent leurs têtes; cinq sur sept ont
les cheveux répandus sur les épaules. Des quatre qui sont debout deux
portent à la main un fuseau, la troisième tient un calathus rempli de
laine, et la quatrième, dont les mains sont vides et étendues, est
peut-être celle qui, pour charmer les heures de travail, raconte les
amours des dieux.
«Cálados» < κάλα-θος ó κάλα-μος > «colmo» > καλιάς = cabana.
Καλός = καλλι = belo.
A
relação que o cesta larga e pouco alta, feita de verga ou fasquias de
madeira teve com a Deusa Mãe e depois com a coroa desta parece ser muito
indirecta mas ao final é fácil de entender.
Inicialmente
o calado era um vasculho feito de canas e falhas de colmo tendo
derivado destas o nome que por sua vez o derivaram dos cultos a Deméter deusa
dos cereais e da palha e dos caniçais. O fabrico de entrançados de
palha e juncos deve ter sido mais arcaica do que a cerâmica e feito
parte do conhecimento comum dos povos primitivos que usariam de forma
espontânea e corriqueira talos de vegetais para tudo incluindo o gesto
do Génesis de tapar a nudez com parras de videira ou de figueira. A
perfeição técnica do fabrico de cestas e canastras revela a paciência
das artes femininas e terá ficado sempre sob os auspícios da Deusa Mãe
que em Creta foi Kur-ija, a antepassada da deusa da morte negra dos gregos que era Ker e que na Índia viria a ter o nome de Kali
uma deusa também de morte e do fogo. No entanto, etimologicamente o
nome destas deusas apelava para Senhora do Monte que na Suméria era o Kur
local onde tudo era puro e «belo» (> kalos). A deusa mãe depois de
ter dado nome ao colmo deu nome aos cestos de palha que a deusa passou a
usar na cabeça para protecção do sol do meio-dia mediterrânico e assim
nasceu o «cálato» e o primeiro gesto de coroação divina.
«Cesta» < Lat. cista < Gr. kíste, cesta < Ki-ash, rebento de Ki = colmo.
Figura 24: A
“cesta mística” guardava um par de cobras, símbolos fálicos de
fertilidade, e tinha um lugar muito importante nos cultos de mistério,
ao lado do calathus e do liknon (peneira).
«Canastra»,
cesta larga e pouco alta, feita de verga ou fasquias de madeira ou de
«canas» deve ser o equivalente etimológico lusitano do calado, tanto
mais que foi sobretudo um utensílio de varinas que tudo leva a crer
serem de arcaica origem egeia.
«Canastra» < lat. can-istrum < grec. can-astron < Ki-An-ash Teron
≡ Pótnia Teron.
[1] Ihr
gegenüber, hinter Nereus, steht mit fast symmetrisch entsprechender
Handerhebung eine Göttin, durch Scepter und Kalathos ausgezeichnet. Wenn
es denkbar wäre, dafs die Gemahlin des Zeus sich bis zu den Mächten des
Meeres begeben hätte um über den Ruhm des Herakles zu klagen, so wird
man dem bildlichen Zusammenhänge gemäfs diese Figur am liebsten auf Here
deuten, während sie andernfalls, unsres Erachtens wahrscheinlicher,
auch für Persephone, des Dionysos Gemahlin, sich halten läfst, neben
welchem sie steht.
[2] By our Akraía-Aphrodite and our Kore and our Hylátēs-Apollo and our Kenyristḗs-Apollo and our saviors the Dioskouroi and the island’s common Boulaía-Hestia
and the common ancestral gods and goddesses of the island and the god
Caesar, august descendant of Aphrodite, and eternal Rome and all other
gods and goddesses. — Franklin, John Curtis. 2016. Kinyras: The Divine Lyre. Hellenic Studies Series 70.
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