Figura 1: Artemisa matando Acteão. - Based on drawing of Reichhold (artist) 1909 in FR pl from Bell krater of Pan Painter.
Acteão era filho de Autônoa, filha de Cádmo, e do semideus Aristeu, filho de Apolo com Cirene, filha de Hipseu, e, portanto, neto de Apolo e sobrinho-neto de Artemisa.
En la mitología griega hay dos personajes llamadas Autónoe (en griego Ἀυτονόη): Una hija de Cadmo y Harmonía, hermana de Ágave, Ino, Sémele, Ilirio y Polidoro. Se casó con Aristeo, y con éste tuvo a Acteón y Macris. Ellas y sus hermanas fueron vueltas locas por Dioniso. Una de las Nereidas.
Autónoa < Ἀυτονόη < Au-Tamu-Anu-(et) > Lat. Autumnu > «Outono».
< Hataum-Anu < Hataum-Anu < Kaku-Am-Anu.
Por sua vez Autónoa, a que nasceu por si mesma, seria a deusa mãe primordial antes de ter sido uma nereida e, por isso, uma das esposas do harém de Poseidon, o deus do mar e do «Outono», o protótipo de todos os deuses de morte e ressurreição de origem cretense.
Obviamente que toda esta genealogia heráldica de Acteão seria uma mistura de lenda antiga com mitos arcaicos relativas a variantes do mito dos deuses das tempestades e “manda chuva”, *Kurish-teu, que tanto poderia ter sido o sumério Escuro como o clássico Ares…como Aristeu, deus da apicultura e pai de Acteão.
He was sometimes called Actaeus
(Ἀκταῖος), as in the poetic fragment quoted at
Pseudo-Apollodorus, Bibliotheca 3.4.4:
"then [they] killed Actaeus at Zeus's instigation", τότ' Ἀκταῖον κτεῖναι Διὸς αἰνεσίῃσι.
Acteão, Actéon ou
Acte-on < Ἀκταί-ων = Deus e
Senhor (On < Aun < Anu)
Actai-os < Ac-te =
Deus Ak ou Ach, literalmente o filho da Deusa Mãe.
Pelion, a wooded mountain in Thessaly in the district of Magnesia, between Volo and
the east coast. (…). On its summit was an altar of Zeus Actaeus, in whose honour an annual festival was held in the dog-days, and worshippers clad
themselves in skins.
Richard Buxton has suggested reading the
procession to the sanctuary of Zeus
Actaeus as a ritual of inversion: ‘Once a year the citizen-group turns,
through its representatives, into a community of shepherds, which practises
what may be described as a one-day ritual transhumance’.
Burkert instead emphasizes instead the
expiatory character of the event, assuming that the skins worn by the Magnesian
elite are those of animals they have them-selves just sacrificed: ‘The sacrificer identifies with his victim to the point of wearing
its skin, tries in effect to undo his own deed’.
In either case, we have passed from the
civilized world of theatre to the wilderness, with its description of killer
plants and curious local customs. -- Aesthetic Value inClassical Antiquity, by
Ineke SluiterRalph M. Rosen.
Actaeus (Actaeüs) was the first king of Athens, father of Agraulus and father-in-law to Cecrops,
the second king of Athens.
Also gave Attica (Acte) its name before it was
changed to Cecropia by Cecrops. Actaeus had no sons and was therefore succeeded
by Cecrops.
A mitologia clássica deve ter dado muitas voltas e
reviravoltas nas ilhas e cantos recônditos da retalhada Grécia antiga antes de
se fixar nas formas conhecidas e escritas. Muitos elos de transição desta
cadeia incessante e enovelada de mitos e especulações culturais mágicas se
terão perdido ao longo dos tempos. Acteão teria sido assim um arcaico deus de
caçadores que se terão transformado em pastores tendo tipo por transição a caça
dirigida e a transumância. Assim, Zeus Actaeus terá sido entre os Magnésios um
dos elos fósseis destas variantes.
A relativa abundância das culturas que se dedicaram primeiro
à caca dirigida e à pastorícia ficou célebre no étimo do pecúlio latino. Por
outro lado outras culturas relacionavam a abundância com a actividade marítima
e outras ainda mais com a exploração mineira do subsolo razão pela qual, na
cultura grega fascinada pela metalurgia e pelos metais preciosos, Pluto, deus
dos infernos e subterrâneos ficou relacionado com a boa fortuna e com os cultos
infernais de qualquer tipo de abundância o que fez com que Zeus Actaeus tivesse
passado de deus do céu a deus dos infernos por ter sido deus da fartura
pecuniária da pastorícia.
Como deus de caçadores e de pastores terá sido um deus
cornudo, ora com cornos de touro, ora de bode ou carneiro, ora de veado como o
gaulês Cernuno e muitas
representações de origem nórdica da cultura anatólia e hitita.
Obviamente que Cernuno
não tem relação étmica com Acteão mas têm seguramente uma relação semântica que
passa pelo deus sumério do Kur que
foi Enki, o deus que antes de mais
teria sido o filho primogénito de sua mãe Tiamat
como terá sido o caso de *Ach-Te,
quase seguramente o mesmo que o frígio Atis.
Ver: ATIS (***)
Então começamos a entender porque Acteão pode ter tido
origem, ou ser mera variante dos cultos caldeus dos deuses cornudos como Belus
sendo verdade que praticamente todos os deuses sumérios tinham a tirara de
cornos como símbolo e deuses como Escur
e Estar uma relação etimológica
óbvia com o touro cretense.
L'attribution aux dieux des cornes, particulièrement de celles du taureau,
remonte aux religions de l'Asie. Là, nous trouvons Bélus, représenté d'ordinaire avec des cornes de taureau sur la
tête. Les bureaux ailés à face humaine qui défendent l'entrée des palais de 1
Assyrie, sont des images de Bélus, déjà presque complètement identifié avec
l'animal qui lui sert de symbole.
(...) Le chasseur de la Béotie semble, il est vrai,
bien éloigné du dieu principal des Chaldéens: mais le Jupiter Actceus sert d'intermédiaire naturel entre ces deux
personnages dont lage et le degré d'activité offrent au premier abord un
contraste complet.
Le Jupiter Actaeus,
sur lequel nous avons peu de détails, s'explique mieux par les monuments de la
religion des Gaules, où tout nous montre que les doctrines de l'Orient
s'étaient conservées avec moins d'altération qu'en Grèce. Nous n'en citerons
pour exemple, que le précieux bas-relief, découvert il y a quelques années à
Reims, et qui nous montre un dieu barbu, accroupi à la manière indienne, entre
les figures debout de Mercure et d'Apollon. (...)
Le nom qui, sans
aucun doute, convient le mieux à cette divinité, est celui de Cernunnos, déjà connu par l'inscription
jointe à une des hgures qui décorent l'un des prétendus autels découverts dans
les fondements de l'église de Notre-Dame de Paris.
Figura 2: Cernuno no caldeirão de de Gundestrup.
(...) Le nom
d´Actéon, de son côté, se prête à cette signification. De même que le Molionide
Ctéatus est le fils d'Actor, de même Actéon (`a augmentatif et ctaiwn pour ctaon, participe présent de l'inusité ctaiw, enrichir, dont on n'a que le moyen ctaomai, posséder la richesse, et pour la forme active, le participe de l'aoriste
second ctas, c'est-à-dire le grand possesseur, celui
qui enrichit par excellence comme Plouton) disons-nous, offre une étroite analogie avec le Jupiter Ctésius. Cet
Actéon, roi de la richesse et des demeures infernales, trouve dans Hécate (dont
le nom présente avec le sien une si exacte ressemblance) Une compagne parfaitement
assortie, et si l'on réfléchit qu'Hécate est la meme que Diane, et que les
chiens lui sont spécialement consacrés, on reconnaîtra la réunion des traits
les plus essentiels au mythe d'Actéon. Phérécyde, dit qu'Hécate est la fille
d'Aristée, par conséquent la sœur d'Actéon.
Il est vrai que
l'Actéon infernal, ou le Jupiter Ctésius, diffère notablement du jeune
chasseur, dont l'imprudence ou l'audace fut si cruellement punie par Artémis.
Toutefois, si les récits des mythographes offrent peu d'éclaircissements sur ce
point, il n'en est pas de même des monuments où nous trouvons alternativement
deux Actéon, l'un jeune et imberbe , qui est celui de la tradition ordinaire,
l'autre barbu et viril qui se rapproche des notions que nous venons de
rassembler. Quand Actéon se livre contre Diane aux mêmes violences que Tityus
contre Latone, comme sur la pl. XCIX, quand nous le voyons (pl. CII ) en pendant avec Ajax (dont
le nom grec exprime la douleur), sous des traits aussi marqués que ceux du
héros de Salamine, on peut noter déjà une déviation considérable à la tradition
la plus reçue, déviation qui rapproche le personnage des puissances infernales
et telluriques.
Ici se révèle toute
l'importance du vase reproduit sur notre pl. CIII, où le mythe d'Apollon et
d'Hyacinthe se trouve associé à celui d'Actéon. C'est qu'en effet, de même qu'à
Amyclse, nous rencontrons un double Apollon, l'un viril et l'autre adolescent,
le premier éraste et le second éromène, et, dans le sens profond du mythe, l'un
père et l'autre fils; lépithète de gouffre d'Hécate. Scylla, la déesse moitié
femme, moitié poisson et ayant plusieurs chiens à la ceinture est fille
d'Hécate Cratœ'is. Schol. ad Apoll. Rhod. Argon. IV, 828. (...)
Figura 8: PLANCHE
CIII. La grande composition
reproduite sur notre pl. CIII est tracée sur une amphore à rotules de la
collection de M. le comte de Pourtalès Gorgier.
M. Panofka a donné de ce second tableau une explication
des plus satisfaisantes et des plus complètes. Aussi nous bornerons-nous à
rappeler ici textuellement cette explication. «Cette peinture, dit le savant
archéologue, mérite de fixer notre attention, puisqu'elle nous donne une image
jusqu'à présent inconnue, mais néanmoins conforme aux idées religieuses qui
s'attachaient au personnage mythique d'Actéon. Deux passages de Pausanias
peuvent servir à expliquer la figure de ce chasseur, qui se présente ici comme
un véritable Endymion, reposant sur une pierre ou rocher. (...). En sortant de Mégare, dit
ce voyageur, il y a à droite une source, et en avançant un peu, une roche qu'on
nomme la roche d'Actéon, sur laquelle on dit qu'il dormait lorsqu'il était
fatigué de la chasse. Quant à la source, on assure que ce fut là qu'il vit
Artémis au bain. Stésichore d'Himéra a écrit que la déesse couvrit Actéon d'une
peau de cerf, et le fit tuer par ses chiens, pour empêcher qu'il n'épousât
Sémélé.
Le second passage
(...). Quant à Aetéon, dit Pausauias, les Orchoméniens disent que, leur pays
étant tourmenté par un spectre qui se montrait sur un tc rocher, ils
consultèrent l'oracle de Delphe , qui leur ordonna de chercher s'il y avait
quelques restes d'Actéon et de leur donner la sépulture; i1 leur prescrivit
aussi de faire une statue en
bronze de ce spectre, et de la lier à ce rocher avec du fer. J'ai vu moi-même
cette statue d'Acteon enchaînée, et ils lui sacrifient tous les ans comme à un
héros.»
(...) Si lors de la
rédaction du texte des Antiques du Cabinet de M. le comte de Pourtalès, en 1834, M. Panofka a cm
devoir user de ces précautions pour proposer une explication des figures qui
entrent dans la seconde peinture de notre pl. CIII, nous n'avons pas les mêmes
raisons aujourd 'hui pour user d'une semblable réserve. En effet, d'après ce que
nous avons dit plus haut du jeune Hyacinthe tué par Apollon, l'approché
d'Actéon périssant accablé par ses chiens, nous ne sommes nullement surpris de
voir un bouclier au-dessus de la tête d'Actéon endormi. Le bouclier remplace
ici le disque qui causa la mort du jeune éromène d'Apollon. Actéon endormi
rappelle, comme M. Panofka en
fait l'observation, un autre chasseur, Endymion; et ce que nous avons dit de ce
héros, que l'on doit considérer comme un héros solaire et comme la
personnification du soleil descendu dans l'hémisphère inférieur, l'identifie
encore une fois avec Actéon.
Que Charmus et
Callicarpus soient les frères du héros solaire Actéon, ceci n'a rien
d'étonnant. (...) L'un indique la joie que cause la renaissance de la nature
après la saison de l'hiver, l'autre les fruits qui mûrissent, grâce aux rayons
bienfaisants du soleil. Autonoé tenant un miroir dans lequel se réfléchit son
image, se complaît dans cette contemplation, et cette action fait une allusion
directe à son nom (Autonon, quasi auto noousa[1]). Maintenant qu'Aristée se confonde avec
Arès et avec Apollon Amycléen, armé de pied en cap comme le dieu de la guerre, les
rapprochements que nous avons faits entre Hyacinthe et Actéon rendent compte de
cette transformation. Car si, d'un côté, Aristée se rapproche de Pan comme dieu
rustique, de l'autre côte. (...)
En suivant ces raisonnements, lions devons faire
remarquer que les eux frères Charmus et Callicarpus s'identifient avec les
Dioscures, Castor et Pollux, et que la femme que nous avons désignée sous le
nom, Autonoé peut aussi recevoir celui d'Hélène ou de Phœbé. –Élite des
monuments céramographiques: matériaux pour l'histoire des religions et des
moeurs de l'antiquité (Band 2), Charles Lenormant & Jean Joseph Antoine
Marie de Witte.
Ver: MELISSA / ARISTEU (***)
III, 4, 4. Autonoé et Aristée eurent un fils, Actéon; élevé par Chiron, il devint chasseur. Quelque temps plus tard, sur le Cithéron, il fut dévoré par ses propres chiens. D'après Acousilaos, c'est à cause de Zeus, en colère contre lui, parce qu'il tentait de séduire Sémélé; mais en général on rapporte qu'il mourut pour avoir vu Artémis comme elle se baignait. La déesse le métamorphosa immédiatement en cerf, fit devenir enragés les cinquante chiens qui le suivaient, et ces derniers, qui ne le reconnurent pas, le dévorèrent. Après la mort d'Actéon, les chiens cherchèrent leur maître, et gémirent jusqu'au moment où ils arrivèrent à la grotte de Chiron. Celui-ci fabriqua une image d'Actéon, grâce à laquelle les chiens guérirent de la rage. – APOLLODORE, Actéon, Ugo Bratelli, 2002.
ACTEON CONVERTIDO EM VEADO
Exímio caçador, Acteão fora criado pelo centauro Quírão. Ao caçar na floresta, viu acidentalmente Artemisa acompanhada de Ninfas, banhando-se num lago (ou numa nascente). Famosa por sua castidade, Artemisa ficou indignada, molhou as mãos e aspergiu água no caçador, transformando-o num veado e atiçou os próprios cães contra ele. Os animais, incapazes de reconhecerem o dono, atacaram e devoraram o azarado caçador…porque estavam com raiva!
Figura 2: Artemisa & Acteion (Planificação cibernética a partir de desenho de vaso grego da obra “Antiques du cabinet du comte de Pourtalès-Gorgier” de Theodor Panofka.)
As Tebanas muralhas levantadas estavam já: chamar-te venturoso em teu desterro, Cadmo, já podias, por Sogros tendo a Vênus, e Mavorte, e de tão alta Esposa ilustre prole em tantos filhos, em tão caros netos, e esses todos em bela mocidade. Porém deve o mortal esperar sempre o seu último dia; nem se pode chamar antes da morte, antes das honras extremas do sepulcro, venturoso. Entre tantas fortunas, que logravas, um neto teu, ó Cadmo, foi a causa de saberes, que coisa era infortúnio, convertido ele em Cervo, e lacerado pelos seus próprios Cães, que o mesmo sangue de seu Senhor beberam. Mas se o fato pesares bem, verás, que só malícia da fortuna houve nele, e não delito: como pode ser crime uma ignorância? Havia alta montanha, onde mil feras de venablos estragos padeciam: Igual o Sol entre uma, e outra meta distando, contraía no Orbe as sombras. Então o Moço Acteon, que na montanha os brutos perseguira, aos Companheiros, que inda vagavam por ocultas fragas, alegre disse: “As redes, e venablos assaz banhadas de ferino sangue estão, ó Caros sócios; bem ditoso foi para nós o dia. Quando a Aurora voltar no roxo carro, este exercício então repetiremos: Febo agora no meio da carreira com seus raios acende a terra; é bem que descansemos: Largai já todos as nodosas redes”. Os Caçadores prontos obedecem, e para descansarem buscam sombra. Havia ali um vale semeado de cerrados pinheiros, e Ciprestes, gargáfia apelidado, e a Cíntia sacro. No fundo dele gruta se escondia, circundada de rústica espessura, onde nunca Arte entrara; a natureza com engenho supriu das mãos a falta. Rude arco natural ali erguera de áspera pomes, de gelados Grumos: Sussurrava à direita pura fonte, mas pobre d’água, rodeando a margem de ervas viçosas. Costumava a Deusa das florestas ali, quando da Caça repousava, banhar o casto Corpo: Veio Diana pois, e entrando, à Ninfa ministra das suas armas, arco, aljava, e venablo entregou; outra nos braços as vestes segurou; duas as plantas despiram dos Coturnos; diligente Crócale Ismênia atou-lhe em firme laço as madeixas nos ombros esparzidas; de água enchem vasos Néfeles, Hiales, Rânis, Psecas, e Fiales.
Figura 3: Tondo de vaso grego com Acteion a ser devorado pelos próprios cães.
Enquanto a Titânia Deidade se lavava, eis que o Neto de Cadmo pela sesta perdido na espessura a incertos passos, chegou ao Vale: fado atroz o trouxe. Assim que entrou na gruta, as Ninfas nuas, ao verem homem, súbito alarido fizeram tal, que os ermos atroaram, e círculo fazendo, com seus corpos a Diana esconderam; mas de balde, pois como Deusa a todas excedia no alteroso semblante. Ela que estava sem véu no corpo, de improviso mostra no rosto a mesma cor, que Febo oposto pinta luzente na rosada nuvem, ou na purpúrea Aurora. Bem qu’as servas a cercassem, voltou atrás os olhos, e pelo lado vendo o audaz Mancebo, quis lançar mão da aljava, e não podendo, lhe arrojou água, que era a pronta seta, e irritada banhou-lhe a fronte toda, rompendo nestas vozes, que pressagas foram do seu misérrimo infortúnio: “Vai contar (se puderes) que me viste sem vestidura o corpo”: e mais não disse, porque instantaneamente na cabeça a ramosa armação lhe põe de Cervo: Estende-lhe o pescoço em longo espaço, aguça-lhe as orelhas para cima, muda-lhe as mãos, os pés, e os adelgaça, e de manchado pêlo cobre o corpo. Acrescenta-lhe mais pavor estranho, e tanto, que quadrúpede já foge de Autônoe o Filho: espanta-se ele mesmo de tão ligeiro ser, e a causa ignora. Porém assim que vê a córnea testa nas costumadas águas, assombrado dizer quer, ai de mim, Moço infelice! Mas não o ajudam já vozes humanas: outras não têm, senão brutais gemidos, e pranto derramado em fronte alheia. Para maior martírio unicamente seu juízo conserva: resolver-se não sabe no que faça; para casa se voltar deve, ou demandar o mato; este lhe faz pavor, aquela pejo. Nesta irresolução seus Cães o viram, e o primeiro de todos foi Melampo, e Icnóbates logo; este de raça Gnóssia, aquele Espartana, sinais dando c’os sólitos ladrados às matilhas. Outros no mesmo ponto apareceram mais veloces, que o ar, Pânfago, Dorce, Oríbaso, e da Arcádia a casta toda; o valente Nebrófono, o sanhudo Teron c’o fino Lélape; o ligeiro Ptéleras, que no faro a nenhum cede, Hileu de um javali inda ferido; Nape filha de lobo, de rebanhos Pêmene guarda, Harpia acompanhada de dois cachorros filhos, o Siciônio Ladon, Cánaces, Dromas, Sticte, Tigre, Alces, Leucon, forte rafeiro branco, e Ásbolo negro; Lacon forte em dentes, Aélo na carreira; Tôo, e Cíprio, Licisca com o Irmão leves em curso, Hárpolos, e Melaneu, que de negro, e branco tem rajada a meia fronte, Lacne de hirsuto pelo, Labro, e Agriado de Lacônida mãe, e pai dictense ambos nascidos; Hilator famoso em agudos latidos; e outros muitos, que prolixo seria o numerá-los. De presa cobiçosa esta anhelante turba veloz por íngremes penedos, por mil despenhadeiros, por caminhos, que ou caminho não têm, ou é difícil, acomete, e persegue ao Miserável, que foge por onde antes o seguiam os mesmos Servos infiéis agora.
Figura 4: Morte de Acteião presenciada por Pan um arcaico deus silvestre.
“Olhai, que eu sou Acteon; o Senhor vosso não conheceis” (clamar queria o Aflito, mas faltavam-lhe vozes) com mil ladros os ares soam: a agarrar primeira foi Melanquetes, trespassando a espádua; seguraram depois os ombros ambos Terídama, e Oresítrofo, que tardos tinham saído, mas por breve atalho se adiantaram saltando, e detiveram a presa, até juntar-se a turba toda, que toda no infeliz os dentes ferra. Já faltava lugar para feridas; geme a todas o Mísero, e sons forma, que nem são de veado, nem são d’homem, com que atroa os Outeiros conhecidos. Já semelhante a quem suplica humilde, põe em terra os joelhos, e calado a cabeça levanta em vez de braços. Os Sócios ignorantes estimulam cada vez mais as rábidas matilhas, e procuram Acteon: como o não acham, Acteon, Acteon, à competência bradam, como se fora ausente: o Miserável, assim que ouve seu nome, alça a cabeça; os outros vão queixando-se da ausência, como se ele presente ali não fora, e já de inerte o acusam, desprezando tão bem lograda presa. Assaz quisera ele ali não estar; mas por seu fado a seu pesar está; quisera os brios ver dos seus fortes cães, mas não sofrê-los. Cercam-no enfim estes, e escondendo as queixadas no Corpo Lacerado, a seu mesmo Senhor oculto em Cervo a pedaços reduzem. Diz a Fama, que se ele a mil feridas não morrera, saciada não ficara a Cíntia Deusa. -- As Transformações de Públio Ovídio Nasão; Traduzidas por Cândido Lusitano.
Diodoro de Sículo (4.81.4), numa variante da hubris de Acteão que foi largamente ignorado, refere que Acteão se quis casar com Artemisa. Outros autores dizem que os cães de caça eram de Artemisa; algumas elaborações perdidas do mito parecem ter-lhes dado todos os nomes e narram os seus feitos depois da sua perda.
Diodore mentionne d'autres raisons au courroux de la déesse : Actéon aurait commis un sacrilège dans son temple ou se serait vanté d'être plus habile qu'elle à la chasse. Cette dernière explication est déjà donnée par Euripide dans ses Bacchantes.
Le pseudo-Apollodore rapporte aussi une tradition minoritaire qu’il attribue à Acousilaos, selon laquelle Actéon est métamorphosé par Zeus pour avoir poursuivi Sémélé (princesse thébaine mère de Dionysos) de ses assiduités.
Pausanias (IX, 38, 5) rapporte qu'il faisait l'objet d'un culte héroïque dans la cité d'Orchomène (Béotie).
Quer tudo isto dizer que este mito grego ficou mal contado ou era uma deturpação dum ouro muito mais antigo no qual Acteão era o filho consorte duma deusa mãe de nome parecido, possivelmente a marinha Acteia / Actaia, no qual vemos a deusa mãe primordial matar o filho amante por uma qualquer razão de poder matriarcal.
De facto, sob o ponto de vista étmico, Acteão é correlativo de Acteia, ou Actaea que era um do Nereides.
Na mitologia grega, as Nereidas ou Nereides (em grego antigo, Νηρείδες ou Νηρηίδες; no singular, Νηρείς, translit. Nêrêís, ‘filha de Nereu’, de νέειν , translit. néein, "nadar") eram as cinquenta filhas (ou cem, segundo outros relatos) de Nereu e de Dóris. Nereu compartilhava com elas as águas do Mar Egeu.
(…) As Nereidas eram veneradas como ninfas do mar, gentis e generosas, sempre prontas a ajudar os marinheiros em perigo.
Enquanto «ninfa» seria esposa de Poseidon / Enki e literalmente uma Potinija!
Ακτη = Aktê = nome poético para cereal, sempre associado com ἀλφίτου, ou Δημήτερος. Na mitologia grega Ἁκταία era uma das Horas, de ἀκτά / ἀκτή a praia ou a "beira-mar". Ἁκτέα = a mais velho de árvore > ἄκτινος = de madeira velha.
«Ninfa» < Lat. nympha < Gr. nýmphe, < Num-Ke
< Nin-Ki, literalmente a Sr.ª Ki, mais conhecida como Ninhursag,
lit. a senhora «cursaca»(?!) < kur-kaki < kur-kiki,
lit. “o monte dos duplos seios”.
Na verdade, um elemento mais arcaico do mito faz de Acteão um companheiro de caça familiar de Artemisa como Calisto, e não um caçador estranho. De resto, também se pode dizer que, por definição, Acteão, se usava redes para caçar como canta Ovídio, habitaria na praia, o que seria mais próprio de pescador do que de um caçador!
Nikê < Niquete < Enki-et, a filha de Enki, um obvio epíteto de Istar
Niceia < Nesaie < Neceje < Enkesha > Enki-et > Nike-et > Nikê.
ó Nash < Anish < Nanshe < Ninisha ó Inana.
Urano [< Anurio < Nério (> «Nero > Nelo») ]
Ora, nem de propósito, Acteia era irmã de Niceia, nome foneticamente próximo de Nikê /?), uma das filha de Enki, o deus das águas do céu Úrano e do Nilo, que deu nome às nereidas. Junto com a sua irmã Niceia eram duas ninfas que representavam a imperiosa fúria das ondas contra as costas das ilhas.
Nash: Pronounced form of Nanshe. Daughter of Ea, cult center Sirara near Lagash.
Nash < Nanshe < Nin-Sha, literalmente senhora do lago > «Ninja».
"But the Actaeon myth is strange. The goddess - seemingly a grown woman, but paradoxically one destined never to reach menarche (the "eternal teenager") - is observed (probably accidentally) by a young huntsman as she bathes naked in a stream. He stares in fascination and awe at "the most beautiful vision ever beheld by man" (…). But his harmless voyeurism leads to tragedy; Diana sees him, and fears he will boast of what he's seen. And so she turns him instantly into a stag - which his own 50 hounds then tear apart. This is one of many myths which unmasks the Greek male's fear of women (Medea and Atalanta are two others) - female beauty is not just there for his enjoyment - it has a power to trap and then destroy." -- Diana and Actaeon, Classics Pages written and designed by Andrew Wilson.
Pensar que os mitos antigos só poderiam ter um único figurino seria o mesmo que supor uma humanidade de ideias limitadas e de vistas curtas! Os mitos antigos eram de facto uma forma de as comunidades exorcizarem os seus medos e pecados e deve ter havido muitas tragédias em que as matriarcas matavam filhos e maridos por razões fúteis. As relações dramáticas das matriarcas primitivas com os filhos devem ter sido multifacetadas e repletas de dramas e tragédias inevitáveis e recorrentes e daí os vários mitos de morte e ressurreição em torno da Deusa Mãe, senhora da vida e da morte e também das dores de parto, de mulher menstruada, de mãe e de esposa, enfim todo um cortejo de realidades relacionadas com o lado trágico da condição humana expresso em mitos que começaram com a teogonia e acabaram na mística católica da N.ª Sr.ª das Dores, das Angústias e da Piedade!
Ver: PIETA (***)
Muitos desses mitos teriam sido a transformação de histórias lendárias, algumas delas plausíveis e em variantes pederásticas que mais não era do que uma forma descarada de misoginia resultante do “medo que homem grego tinha às mulheres” sempre sujeitas à autoridade patriarcal. Para os gregos clássicos a mulher era naturalmente inferior e o casamento não previa apenas relações de conveniência porque à mulher estava destinado apenas o espaço privado do lar, enquanto a ágora estava reservado aos varões. Aristóteles, o mais paternalista dos filósofos chegou ao ponto da cegueira histérica de não ver na mulher a responsabilidade pela criação da vida chegando a defender que a mulher era apenas o vaso onde o sémen masculino era semeado. E os delírios paternalistas iam ao ponto de considerar a mulher como um homem defeituoso porque o feto feminino necessitava de oitenta dias para receber a alma, enquanto o feto masculino o conseguia em metade do tempo.
Diodoro Sículo conta como facto histórico o triste caso de um menino chamado Acteion a quem “a morte chegou da mesma maneira daquele de quem trazia o nome, já que ambos perderam suas vidas de maneira semelhante nas mãos daqueles que mais o queriam ajudar”.
10 1 Archias de Corinto, sendo tomado de amores por Actéon, em primeiro lugar enviou um mensageiro ao jovem, fazendo-lhe promessas maravilhosas, e quando ele não foi capaz de conquistá-lo a agir em contrário aos princípios honrados de seu pai e contra a modéstia do próprio jovem, ele reuniu o maior número de seus associados, com a intenção de usar sobre o jovem força sem apelo nem agravo. 2 E, finalmente, uma vez, quando Archias se embriagara na companhia dos homens que ele tinha consigo, sua paixão o levou a tal loucura que ele invadiu a casa de Melisso e começou a levar consigo o menino pela força. 3 Mas o pai e os outros moradores da casa o seguraram firme, e na luta violenta que se seguiu entre os dois grupos, o menino foi encontrado, sem se saber como, já sem espírito nos braços de seus defensores. Consequentemente, quando reflectimos sobre a estranha reviravolta do acaso somos forçados a ter pena tanto do destino da vítima e de nos maravilharmos com a inesperada reversão da fortuna. Ao menino a morte chegou da mesma maneira daquele de quem trazia o nome, já que ambos perderam suas vidas de maneira semelhante nas mãos daqueles que mais o queriam ajudar. - Diodoro Sículo Biblioteca de História, P383 Fragmentos do Livro VIII.[1]
A mesma tragédia e contada como facto histórico por Plutarco em “Histórias de Amor”.
Figura 5: Morte de Acteion aparentemente por motivos de amor como o demonstram a presença de um erote a segurar as lanças e de Afrodite e mais um erote. (Interpretação helenista de Eduard Gerhard na obra Apulische Vasenbilder).
Este Melisso teve um filho chamado Actéon, o jovem mais belo e mais modesto da sua idade, que teve muitos amantes, o principal dos quais foi Archias, da família dos Heráclidas, na riqueza e na influência o homem mais notável de Corinto. Já que não podia obter o rapaz pela persuasão, ele decidiu levá-lo à força. Então, ele reuniu uma multidão de amigos e funcionários, foi em folia de bêbado a casa de Melisso, e tentou levar o menino consigo. Mas seu pai e seus amigos resistiram, os vizinhos também acorreram e o puxaram aos assaltantes, e assim Actéon foi resgatado morto e em pedaços; Então os assaltantes foram embora. Mas Melisso levou o corpo de seu filho e exibiu-o no mercado local de Corinto, exigindo a punição dos homens que tinha feito a escritura, mas o Corintios apenas tiveram pena dele mas nada mais fizeram. Assim, não sendo bem-sucedido, ele se afastou e esperou pelos Jogos Ístmicos, quando então subiu ao templo de Poseidon e gritou acusações contra os Bacchiadae, e lembrou ao povo as benfeitorias de seu pai Habron, após o que, invocando os deuses para vingá-lo, atirou-se das rochas a baixo. Pouco tempo depois, a cidade foi atingida pela seca e pela peste, e quando os Coríntios consultaram o oráculo para salvação o deus respondeu que a ira de Poseidon não acalmaria enquanto eles punissem a morte de Actéão. Archias, que logo sabe disto pois ele mesmo era um dos enviados para consultar o oráculo, voluntariamente se absteve de voltar a Corinto. Em vez disso, ele partiu para a Sicília onde fundou Siracusa. Lá, ele se tornou pai de duas filhas, Ortigia e Siracusa, e foi traiçoeiramente assassinado por Telefo, que tinha sido seu amado e tinha navegado com ele para a Sicília no comando de um navio. -- Histórias de Amor de Plutarco.[2]
AQHAT
O mito de Acteão faz lembrar o de Átis com o qual se assemelha foneticamente. Ora, esta relação fonética de nomes pode estender-se de modo também semântico ao deus cananeu Aqhat.
Acteão = Aki-te-(on) < Act-| hahe < Kake >| ish > Actis > Attis > Átis.
> Aki-at > Aqhiat > Aqhat.
De facto, o mito mais parecido com o de Acteion é o do herói ugarítico Aqhat. Poderia mesmo arriscar-se até que ambos correspondem ao mesmo mito cretense em versões que evoluíram de forma culturalmente separadas pela geografia depois da crise dos povos do mar. De facto, não será por mero acaso dos caprichos lendários que Acteão era neto de Apolo por parte do pai e do fenício Cádmo de Tebas por parte do pai.
No Grego Anat não é Atena mas Artemisa o que vai dar ao mesmo pois estas derradeiras deusas são seguramente a mesma entidade, como se pode demonstrar noutros pontos destes estudos. De resto, Aqhat faz lembrar foneticamente Hecate, uma deusa em quase tudo semelhante a Artemisa.
De facto, Hecate é que deveria ser o parédro fonético de todas estas entidades míticas. Em ambos os casos estaremos perante variantes deturpadas dum ciclo de velhos cultos de “morte e ressurreição” cretenses.
Assim, na fenícia ugarítica Aqhat seria uma variante do mito do frígio de Attis que também morreu num acidente de caça mordido por um javali! Ora, também Adónis e todos os deuses dos “ciclos agrários de morte e ressurreição” seriam variantes astrais de “deuses paradoxais” porque aparentemente agonizantes e mortais, anualmente como o sol e mensalmente como a lua, ou quotidianamente sujeitos à fragilidade do sono nocturno em que a vida fica suspensa e exposta ao risco de “morte súbita”, ocasionalmente passíveis de serem ofendidos por eclipses ou condenados a caírem na desgraça dos humores caprichosos dos deuses das tempestades e dos longos períodos de intempérie sazonal!
La leyenda de Dan-El o Aqhat es una antigua epopeya semítica occidental que narra la infructuosidad de la tierra durante los meses sin lluvia de verano, de la cual sólo se conocen fragmentos de tres placas que se encontraron en una excavación hecha al norte de Siria y que datan del siglo XIV a. C.
Es el registro del nacimiento de un príncipe llamado Dan-El, que siendo joven heredó un arco que era ambicionado por la diosa Anat y al tratar de robárselo, asesinó a Dan-El. Su muerte trajo hambruna y su padre y hermana salieron a vengarlo, pero en esa parte de la historia es donde se corta el texto, quedando incompleta la narración.
O mito de Aqhat faz parte da lenda do rei Daniel (< Dan´il), um caso particular do ciclo de lendas de reis envolvidos em mistérios e cultos de fertilidade, a primeira das quais começou precisamente com o mítico rei Keret (= Krt)!
KERET
Obviamente que se vai facilmente de Keret a Melkart:
Melkart < Mer-Keret < *Ama-Ur-Kar-at, «o guerreiro de sua mãe e Sr. da cidade»!
No mito de Keret sugere-se a tragédia do rei que adoece gravemente por causa dum voto não cumprido à deusa Atirath. Na verdade a doença de Keret seria uma forma mitigada da morte sazonal de Baal. O filho herdeiro Jarib pretende substitui-lo no trono para que a maldição da doença do pai não caia sobre o povo. Porém, os seus receios seriam motivados mais por uma ambição desmedida do que pela prudência e acabam por lhe ser fatais. Keret sobrevive miraculosamente por intervenção de El, o seu pai celeste! Tratando-se de um mito solar, Keret seria “o sol alado” que preside à imagem do deus da fertilidade da imagem anterior.
Keret < Kerat < *At-Kur > Iskur > Ashur.
Keret < Pher-et + An > Pher-At-An > Phar-Eton > Faeton
Ver: LUCIFER (***)
Jarib < Shariwu < *Karisho, filho de Kar, o altíssimo sol! < Ishkur.
=> *Ka-Phuro (=> Eosphorus = Hesperus = Phosphorus).
=> Faeton, o filho de Hélio (= ou de Kefalo = ou de Apolo).
A epopeia mais conhecida dos Cananeus, porém, é a “lenda de Keret”, escrita 1500 a. C.
Desde a sua descoberta em 1930, a lenda de Keret tem sido objecto de intenso estudo académico e deu origem a uma grande variedade de analogias e interpretações (muitas vezes polémicas). O seu reino, ou a sua capital, chamou-se Hubur, que já de si era um local mítico relacionado com o rio do paraíso sumério, ou seja um local tão etéreo como Avalon do rei Artur.
«Avalon» (< do celta abal = maçã) < *Ka-War + An < Kawur > Hubur.
Micenic. wanax < wa®nax < Hit. Tabarna > «caverna» > «taberna».
Tratando-se de um trabalho em marfim tipicamente fenício, que desenha o rei com a pinha sagrada nas suas inerentes funções sacerdotais de “fertilizador da árvore da vida”, o artista teria por inspiração o rei mítico Daniel, pai de Aqhat, conhecido precisamente pelo título mítico mtrp´i (< Me-ther-ophi, lit. “o que tem a posse dos me da medicina ofídia”) nome que costuma pode ser traduzido pela metáfora complexa de “curandeiro, fertilizador e manda-chuva”.
"Of greater significance is the association with King Keret.... it is presumed by many (e.g. Cyrus H. Gordon Notes on the Legend of Keret) that the combined name for the king and his capital in fact identified the island of Crete. There, according to Cretan and Greek legends.... the god Zeus saw Europa, the beautiful daughter of a king of Phoenicia.... and taking the form of a bull, abducted her.... he had three sons by her, among them Minos.... He (Minos) appealed to Poseidon, god of the seas, to bestow upon him a sign of divine favor.... Poseidon made a Divine Bull.... Minos vowed to offer the beautiful bull as a sacrifice to the god.... but instead he kept it to himself.... the god made the king’s wife fall in love and mate with the bull.... the legendary Minotaur was the offspring....
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Minos then commissioned the divine craftsman Daedalus to build in the Cretan capital Knossos an underground maze from which the bull-man would be unable to escape. The maze was called the Labyrinth.
Keret - Keret was a king (of Khubur?) and possibly the son of El (this may be an expression for a fortunate person) who lost his estate and his successive eight wives to death, disease, and accident before any one of them could produce an heir. Having fallen asleep in tears, he is visited by El in a dream and offered kingship and riches to assuage his sorrow. This is ineffective as Keret only desires sons and heirs. El directs him to make an animal and wine sacrifice to El and Baal on the tower and then muster an army to lay siege to the city of Udm. There, Keret is to refuse offers from the Udm's king Pabil and demand his daughter, the fair Huray. Keret does as instructed, vowing to himself to give Huray an enormous sum of wealth upon his success.
Returning to his estate with Huray, Keret is blessed by El at Baal's behest and is promised eight sons, the first of which, Yassib, shall have Athirat and Anat as nursemaids. In addition, Huray will bear eight daughters all of whom as blessed as a first-born child. Athirat calls attention to Keret's promise of wealth to Huray which he has yet to fulfil.
Later, Keret and Huray prepare a great feast for the lords of Khubur. Later still Keret has become deathly ill and Huray entreats guests at a feast to morn for him and make sacrifices on his behalf.
The household is tense and Keret's son Elhu, despondently visits his father. Keret tells him not to sorrow, but to send for his sympathetic sister, Keret's daughter Thitmanat ('the eighth one'). Her sympathy, heighted Keret expects from her surprise at his state will evoke the attention of the gods during a sacrifice he intends to perform. Indeed she weeps readily when the truth is revealed. Meanwhile, the rains have ceased with Keret's illness, but return after a ceremony on Mt. Zephon. El convenes an assembly of the gods and dispatches the demoness Sha'taqat who cures Keret. Keret's son and heir Yassib, unaware of his father's cure entreats him to surrender his throne as he has been remiss in his duties, but Yassib is rebuffed and cursed.
Porém, pouco se sabe deste rei Keret, onde reinou, como ou se é que ele esteve relacionado com os reis da época em que epopeia foi escrita. Por isso, a maioria dos estudiosos concorda que Keret é uma figura puramente mítica, embora seja possível que alguns aspectos individuais do mito tenham fundamento histórico, como parece ser de regra e senso comum na mitologia pelo menos.
Keret / Fa®-et-on que, por ter pretendido tomar as “rédeas do poder” dos ”cavalos do carro do sol” sem ter ainda a devida destreza, por mérito próprio ou por direito sucessório, não iria conseguir dirigir esse poder nem manter-se no precário e difícil equilíbrio do mando vindo a cair em desgraça política acabando por cair do alto do trono sendo relegado para os calabouços da prisão e para os infernos da morte. Esta bela metáfora da inépcia política pode, no caso do mito de Keret, ter encoberto uma situação bem mais trágica e bem mais grave que seria a sacrifício do próprio filho primogénito para remissão dos pecados dum voto não cumprido ou, no pior dos casos de magia negra, para ganhar mais alguns anos de vida, num macabro rito de morte ressurreição e rejuvenescimento!
Que Horon quebre, Oh filho,
Que Horon quebre a tua cabeça
E a tua mioleira seja desfeita
Também por Baal Athtarat!
Assim, Keret mata o próprio filho num sacrifício humano de “morte e ressurreição” solar para seu próprio proveito sob o pretexto de que o filho supostamente pretendeu usurpar-lhe o trono durante a doença! Mas, enfim esta seria a mais macabra e indemonstrada das teses!
O mito de Daniel desvela a ironia, muito comum nas contradições ideológicas, de um rei supostamente “curandeiro, fertilizador e manda-chuva” ser, apesar disso tudo, paradoxalmente impotente ou estéril.
Daniel – “O de Harnan”, um devoto de Rapiu (Baal) é um rei patriarcal. Como Keret, Daniel está de luto porque ao contrário de seus irmãos, ele não teve filhos. Assim, durante vários dias ele sacrificou comida e bebida aos deuses. No sétimo dia, Baal toma conhecimento e com sucesso El faz petições para que Daniel e a sua esposa, Danatay, tenham um filho, citando, entre outras razões, que a criança será capaz de continuar as contribuições e sacrifícios para os seus templos. El informa Daniel de sua iminente mudança da sorte. Ele rejubila e mata um boi para Kotharat, derramando-lhe sacrifícios por seis dias até vê-los partir ao sétimo.
(Durante algumas colunas em falta, Danatay dá à luz Aqhat.)
Daniel e Danatay celebram uma festa, convidando o deus, e Daniel apresenta Aqhat com o arco lembrando-lhe que sacrificasse o jogo escolhas para os deuses. Mais tarde, Kotharat chega com um arco e flecha especialmente criado definidos para Aqhat.
A criança muito esperada de Daniel e Danatay, Aqhat é presenteado por seu pai numa festa do início de sua vida com um arco e flechas feitas por Kothar-&-Khasis.
Aqhat - Daniel lembra a tirar o melhor de suas peças de caça ao templo para os deuses. Na festa Anat oferece riquezas a Aqhat e a vida eterna se ele lhe der o arco.[4]
Como sói acontecer a todos os temerários que, porque educados com supre protecção não temem nem deuses nem homens, nem de si próprios se acautelam, viria de facto a morrer mais cedo do que dele se esperava mas às mãos vingativas da sua “divina mãe”!
Figura 7: Anat amamentando os príncipes num dos painéis de marfim do leito real proveniente do palácio real de Ras Shamra ( c. 1300 a. C.)
A verdade é que o mito talvez tenha esquecido de referir o quanto de ingratidão existia na displicência deste principezinho mimado que havia sido amamentado pela própria Anat.
Mas, Aqht não lhe faz a vontade. Então a deusa insiste e oferece-lhe a imortalidade. Príncipe herdeiro ansiosamente esperado até tarde teria que comportar-se como a criança mimada que era: egoísta e vaidoso, soberbo e convencido, respondendo do seguinte modo:
Não finjas ó Virgem;
Para um herói as tuas histórias são treta!
Que lucra um mortal com o fim adiado?
Mesmo contando com o brilho da minha mente
E a capacidade do meu espírito
Morrerei como todos os homens!
Sim, certamente que um dia hei-de morrer.
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De qualquer modo, parece poder concluir-se que os antigos mais esclarecidos entendiam por única “imortalidade” acessível aos humanos a longevidade duma morte em adiantada velhice.
When he refuses, she promises to deliver vengence upon him should he ever transgress. Presumably he fails to offer his best kills to the gods. Later he followes a disguised Anat to Qart-Abilim but presumably thwarts her new scheme to aquire his bow and lives there for a time, possibly under the favor of Yarikh. He is left on a mountain and while sitting for a meal is attacked by Anat's attendent Yatpan in the form of an eagle, along with other birds of prey, and is slain. Following his death, the land is poisoned and there is a period of famine and drought. Daniel recovers his son's remains from the eagle S,umul.
Later, Daniel visits the underworld, probably in hopes of recovering Aqhat, and there encounters the Rephaim.
Pughat - When Aqhat is slain, Daniel's daughter Pughat notices the eagles and the drought and becomes upset. Daniel prays that Baal might return the rains and travels among the fields coaxing the few living plants to grow and wishing that Aqhat were there to help harvest them. Pughat encounters Aqhat's servents and learns of his demise. After seven years of Daniel's court mourning, Daniel dismisses the mourners and burns incense in sacrifice to the gods. Pughat informs him of Aqhat's demise. Daniel then swears vengence upon his son's slayer. In succession he spies some eagles, Hirgab, and Sumul. He calls upon Baal to break their wings and breast-bones, then he searches their insides for Aqhat's remains. Initially not finding them, he asks Baal to restore the eagles and Hirgab. Finding Aqhat's remains within Sumul, he buries him and calls upon Baal to break the bones of any eagle that my disturb them and curses the lands near which his son was slain. His court goes into mourning for seven years, at which time Daniel dismisses the mourners and burns incense in sacrifice to the gods. Pughat prays to the gods to bless her in her venture and disguises herself as Anat, intending to wreck vengence upon those who slew Aqhat. She arrives and meets Yatpan, accepting his wine, and the rest is missing.
O que é interessante no mito de Kerete é o assédio de uma cidade distante por causa de uma mulher, o tema central ao Ilíada de Homero e o Ramayana de Valmiki.
Pensamentos místicos perpassam destes de versos fragmentados:
Grandes são os planos de deuses e dos homens,
Mas quando o dia acaba —
Ossos se espalharam amplamente ao sol,
Para a *Moira irónica a rixa ganharam.
E nada permanece para a posteridade de Apollo,
Mas cantar o elogio dela,
— Em agonia cómica. —
[* Destino, ou o testamento dos deuses]
Em uma tablete de barro, alguém expressa a sua angústia nestes palavras evocativas:
Meus irmãos nadam em sangue como homens loucos.
Eu comi minha pedra como pão.
E para bebida, Eu bebi o meu sangue.
Minhas lágrimas substituíram a minha comida.
Outro fragmento é de uma carta às autoridades.
Nisto lamenta o escritor,
O pobre ficou rico.
O sensato está em desespero.
Roubaram-nos as colheitas.
A vinha está por tratar.
E nossa cidade foi destruída.
Ou seja, supunha-se que os príncipes herdeiros se considerassem filhos de leite da divina Anat. Então, se mesmo assim Anat seduz o herói é porque estamos numa clara reminiscência de cultos de iniciação sexual incestuosa! Se este lhe responde com o mesmo desprezo por “amores oferecidos” que já Gilgamesh, manifestara (aí então por motivações que poderão não passar de uma forma inconfessada de contornar preferências homosexuais latentes e frequentes entre homens de caserna habituados a longos convívios em comum e, outrora, desde as fases críticas da puberdade!) e numa linguagem e postura típica da que viria a ser a do puritanismo paternalista semita então estamos perante uma afrontosa recusa da iniciação sexual feminina, ou seja numa clara manifestação de rejeição da arcaica forma de gerir o poder da sexualidade matriarcal.
Tábua VI
Tendo chegado triunfalmente ao palácio, o rei “lavou suas armas, penteou seus cabelos, tirou as roupas sujas de sangue, vestiu uma roupa limpa e o manto real, e pôs em sua cabeça a coroa”.
Vendo-o em todo o seu esplendor, a deusa Istar “ardendo de desejo”, propõe-lhe tomar-se sua amante, prometendo-lhe em troca riqueza e poder sem limites.
Mas Guilgamech a desdenha: “Desprezo o teu corpo cheio de fascínio, recuso o teu pão (…); as tuas artes são quentes, mas o teu coração é gelado. Onde está o amante que amarias para sempre? Ao teu jovem amante Tamuz (Dumuzi), deus da Primavera, só reservaste o pranto, ano após ano; depois, arranjaste um jovem pastor, quebraste-lhe as asas e agora ele vagueia em lágrimas pelos bosques (…) Passaste a um outro pastor e, com o bastão, fizeste-o num lobo. Hoje, os outros pastores o ameaçam e seus próprios cães o mordem”.
Ver DAMUZ (***)
Amaste um homem de rebanhos, pastor e chefe de pastores
Que estava sempre a preparar-te brasas ardentes,
Para nelas cozinhares diariamente os teus cordeiros.
Mas bateste-lhe com o bastão e transformaste-o num lobo,
E os seus próprios jovens pastores o procuram caçar
E os cachorros dele rasgam lhe as coxas.
Recorda-lhe enfim a fracassada tentativa com um certo Uchalanu que Istar convidou um dia para “comer a comida dos deuses”. Mas Uchalanu respondeu: “Que queres de mim? Minha mãe me preparou a comida, e eu a comi; por que queres que eu experimente manjares que me levariam à ruína e que se transformariam em cardos e bolotas?” A deusa, furiosa, o transformara num animal da lama. “Ora — conclui Guilgamech —, queres meu amor para reservar-me o mesmo tratamento.”
Figura 8: Ishtar, Guilgamesh e Enkidu matando um lamacho, um dos touros do céu.
Ichtar, acometida de ira, sai pelos céus e pede vingança por este ultraje ao deus Anu, o qual deve admitir que Guilgamech exagerou um pouquinho, pelo que a deusa lhe pede que crie “um enorme touro que aterrorize Guilgamech”.
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E se não for atendida, ameaça “golpear o deus Anu com terrores e assombros”, e para tanto descerá aos infernos, abrirá todas as suas portas, “até que todos os demónios e mortos saiam e venham à terra; e os mortos já são muito mais numeroso do que os vivos!” Anu, depois de tê-la advertido que este tipo de vingança acarretará sete anos de carestia, pergunta-lhe: “Há trigo suficiente nos celeiros? Há feno suficiente para o gado?”
Istar garante que tudo está em seu lugar. Anu então faz surgir “da montanha dos deuses um touro imenso e o envia a Uruk”, onde devasta os campos e arrasta algumas centenas de homens; até que Enquidu consegue agarrá-lo firmemente pela cauda e Guilgamech afunda a sua espada no peito do touro que cai, estertorando”. Enquidu se congratula com o amigo: “Amigo, demos nova glória aos nossos: nomes, agora que matamos o touro do céu!” Cumprida a empresa, os dois heróisse prosternam perante Chamach; repousam nos muros da cidade, do alto dos quais Istar, fora de si, lança as piores maldições contra Guilgamech.
Enquidu então arranca uma coxa do touro e lança-a ao rosto da deusa, gritando: “Ah, pudesse eu tê-la entre as mãos! Faria contigo o que fiz com o touro e a enrolaria em suas tripas!” Logo depois, os dois foram lavar as armas no Eufrates e esta nova aventura termina com grandes festejos.
O resto da história reflecte apenas a mesma lógica da dinâmica reactiva típica da gestão feminina dos conflitos que se relacionam com a essência do seu poder, a força instintiva da sexualidade de que resulta a importantíssima arma política da reprodutibilidade social, a vingança e a intriga mortíferas já conhecidas na história de José & Putifar.
Com a franca vitória da ideologia paternalista na cultura grega é Artemisa a sempiterna Virgem Mãe que se desculpa com o paradoxo dum inédito pudor relacionado com uma virgindade maternal primordial que acaba no helenismo a encobrir uma espécie de lesbianismo sagrado epifenoménico e que, depois de tanto se ter glosado o mote do mito de Acteon, ficou implícito na mitologia clássica das deusas da caça!
Na caldeia, a expressão mais típica deste tipo de semideuses teria sido Adapa,
Ora, sabemos que Adapa foi um dos Apkallu fazendo portanto e também parte do ciclo de deuses solares de que seria originário Apolo.
Claro que este semi-deus, filho do “deus pai” Enki, era um pescador e não um caçador pelo que não seria tão apolíneo como Aqhat que ficou a dever a sua «má estrela» precisamente á sua mestria no manejo do arco cujas frechadas sensuais Anat invejava! Mas já de Acteão se suspeitou que seria mais pescador que caçador! Mas, também é quase claro que, nesta história, a variante semanticamente mais provável de Apolo poderia ser Yarikh, hipótese foneticamente sugerida no nome do pássaro Yatpan em que inesperadamente se descobre a origem do nome da «esfinge»!
Yarikh < Jarikiki < Jarish < Kurish < Ishkur.
Yatpan < Jatipan < Ishpian.
Ver. PROMETEU /ADAPA (***) & FENIX (***)
E quem era Aqhat? Sabendo nós dos riscos de prejuízo fonético que podem resultar da leitura literal de termos que foram escritos, dentro da tradição herdada dos Egípcios, numa língua sem vogais, podemos suspeitar que, sendo Aqhat foneticamente proximo de Hécate e de Acteion, se podem inferir ou postolar as seguintes equações fonéticas:
Aqhat = *Akki-at < *Kaphi-at <= *Kiki-at > Ishat, a prostituta dos deuses que na cladeia não seria outra senão uma variante lunar e infernal de Ishtar, antepassada de Hécate?
Aqhat < *Akik-at < Kakiat < *At-Kaka => Adapa!
Ac-tei-on < *Akik-at-An < *Kaphiat-An < Adaphian => Adonis > etc.
Em conclusão, Aqhat e Acteion são a mesma entidade etimologicamente deduzida a partir de *Kaphiat, quanto a mim uma das mais antigas formas de designar o conceito de «filho de deus pai» Ptah, um dos deuses mais tipicamente «criadores» como Enki, neste caso de acordo com um sotaque que o fonema Phi denuncia como tendo surgido nas ilhas do mediterrânico! Assim, tanto o mito de Acteion como o do fenício Aquiat são só já meras reminiscências de mitos muito mais arcaicos remontando aos primórdios do matriarcado nos quais a deusa mãe das terríficas magias lunares seria responsável pela morte do sol-posto, o seu próprio filho e marido! Os velhos mitos da morte solar às mãos da própria mãe que o comia para o parir no dia seguinte não são explícitos em nenhuma mitologia clássica mas costumam ser inferido a partir da suspeita de que os ritos antropofágicos entorno de «sacrifícios humanos», que eram na época clássica ainda queridos a Tanit, seriam uma manifestação desta tradição alicerçada numa universal guerra de sexos, tão velha como a humanidade, e que o mito da descida de Inana aos infernos permite suspeitar.
Ver: SACRIFÍCIOS HUMANOS (***)
While the mythological roles of other prominent Olympians evolved in the works of the poets, the lore of Artemis developed primarily from cult. Dances of maidens representing tree nymphs (dryads) were especially common in Artemis' worship as goddess of the tree cult, a role especially popular in the Peloponnese. Throughout the Peloponnese, bearing such epithets as Limnaea and Limnatis (Lady of the Lake), Artemis supervised waters and lush wild growth, attended by nymphs of wells and springs (naiads). In parts of the peninsula her dances were wild and lascivious.
Artemisa é funcionalmente parecida com Atena que têm ambas muitas semelhanças com as funções de engenharia do fogo de Hefesto (=> Efeso, cidade de Artemisa?) com quem, afinal, era Afrodite quem estava casada! Ou seja, pelo menos estas três deusas deveriam corresponder a variantes da mesma entidade mítica de deidades arcaicas do fogo. No meio destas deidades lunares e nocturnas relativas aos cultos cretenses das deusas mães das cobras cabe lugar para Hécate, uma deusa dos mortos seguramente relacionada com as hecatombes, as grandes carnificinas sacrificiais.
Figura 9: Altar found near the ancient city of Arycanda in Lycia represents Artemis Tharsenike, a local form of Artemis. (Finike, Çaldirköy Roman Period, 2nd century A.D. Limestone. Istanbul Archaeological Museums.) [5]
Esta Artemis Tarsenica poderia ser uma variante morfológica duma tridiva em que a 3ª face seria suposta atrás e a meio das duas explícitas anteriores.
Figura 10: Hecate, a goddess who takes no part in the mythological stories involving the Olympian deities, was closely related to Artemis and Anatolia. (West Anatolia. Roman. Marble. Istanbul Archaeological Museums.)
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Hecatombe < Lat. hecatombe < Gr. ékatómbe < hekatón, = cem + boûs, boi = sacrifício de cem bois???
Até prova em contrário acho provável que tenha sido o termo heka = 100 a derivar da tradição das hecatombes, literalmente abate sacrificial duma manada de (sempre cem?) bois em honra de Hecate, possivelmente variante da arte de caça por perseguição e precipitação em precipício!
A verdade é que Artemis Tarsenica é a única situação conhecida de uma deusa de dupla face como se fora esposa de Jano.
Tarsenica < Tar-kenika < *Terish-Nikê, ou Nikê de Tarso?
É possível que tenha etimologicamente algo a ver com a cidade onde Paulo de Tarso foi oportunamente precedido por um discípulo denominado Apolo, estranhamente (e muitas e estranhas são as coincidências semânticas entre a mitologia clássica e a nomenclatura cristã!) o nome do deus que foi irmão de Artemisa. Porém, o mais interessante é verificar que à data da cultura clássica já o nome da cidade onde o altar foi encontrado tinha por nome Arycanda que um análise atenta permite relacional com o epíteto referido. De facto, Arycanda < Karki Ki-Enki = Karki Enki-Ki => *Tarsi-Nikê! Mas como as etimologia é como as cerejas não deixa de ser interessante reparar que o nome da cidade de Arycanda sugere também um dos nomes malditos da deusa mãe dos indus, Chan-di .
Chan-di < Ki-Antu > Tiantu > Tanitu > Tan-it.
Como Hécate é quase Acteia, então, “no mito da morte de Actéon”, Artemis seria esta Acteia, um nome adequado para esposa, ou mãe, de Actaeon. Pelo menos assim pareceu ser na inspiração de licaon no seu vaso sobre a morte de Acteion em que Artemis tem toda a postura de Hécate!
LOUCOS E LUNÁTICOS
Figura 11: Zeus & Lyssa, Acteion & Artemis num vaso de Licaon.
A analogia ou o paralelismo entre Artemisa e Hécate torna-se ainda mais evidente pela relação destas deusas da caça com os cães em noites de luar e com os lobos uivantes como fantasmas ao disco argentino da lua nova!
Hécate = Deusa da escuridão, a filha do Titã Pérses e Astéria. Diferente de Ártemis, que representava o luar e o esplendor da noite, Hécate representava a sua escuridão e seus terrores. Em noites sem luar, acreditava-se que ela vagava pela terra com uma matilha de uivantes lobos fantasmas. Era a deusa da feitiçaria e era especialmente adorada por mágicos e feiticeiras, que sacrificavam cães e cordeiros negros a ela.
Ora, os lobos fantasmas e a licantropia devem ter tido uma qualquer relação com certas formas de epilepsia com que, em parte, seria confundida com a sintomatologia inicial da «raiva», e então, ambas apelidadas de loucura divina!!!
Laepus, deus ibérico ó Lat. Lupus < Laebo < Raewo > «raiva» < Raika < *Urkika.
Lida < Leda < Retha < Rehya
< *Urkika: Diosa de la caza; protectora de la vida salvaje. > Etrusc. Lyssa.
Lyssa, deusa silvestre do luar < Lussa, a deusa da loucura > Lusha, lit. «filho da lua» > Lusa, deus da «raiva» dos cães considerada como «loucura divina» lançada sobre os cães que se transformavam em lobos (licantropia) pelo, sobe a nefasta influência da Lua Nova?!
Aphrattos: hê Hekatê (Tarent.), Hsch.
Uma das pistas para esta história pode resultar de Aphrattos, um estranho epíteto tarentino de Hecate, a louca. O caminho mais provável é a partir de phrên e, neste caso, Hecate seria apenas a oligofrénica sem «freios» nos seus intentos.
Aaphrast-us , Ion. < for aphradia, = folly, thoughtlessness. < aphroneô < Aphrôn, ( < [phrên = the midriff or muscle which parts < heart < will> mind]) senseless, crazed, frantic, etc.
Ora bem, a origem deste termo pode estar na relação entre a salivação dos cães raivosos e sintomas vagais idênticos de certos envenenamentos por mordeduras de cobras e de certas formas de ataques de loucura raivosa ou de epilepsia!
Aphreô,( [aphros] ) foam.
Neste caso, a analogia fonética entre espumados (aphreô) desaforos por loucuras de paixão afrodisíaca e disparatadas reacções esquizofrénicas (aphradias) por licantropia sob os auspícios de Hecate teria sido a causa do epíteto Aphrattos.
Quanto à loucura pode não ter tido a etimologia que se supõe!
«Louco» < Lhauco < Lat. Glaucus, n, pr. Gr. Glaûkos?
< Lhiarco < Lat. Learchus?
Por ter sido Glauco o “deus menino”, morto como Dionísio, e por isso mesmo verde como era suposto serem todos os cadáveres, como o dos deuses dos «mortos» Ptah & Osíris? Mas, ainda que assim fora por ser um facto que se pode ficar tão louco como”verde de raiva” existe pouca convicção nesta linha semiológica uma vez que o mito de Glaucos nos reporta sobretudo para a questão dos «antídotos» para a mordedura de cobras.
A verdade é que esta relação significante não era conhecida dos clássicos! A única relação mítica com a loucura aparece no termo Lat. Learchus, i, m., = Learchos, the son of Athamas and Ino, whom Athamas, in a fit of madness, killed.
Ver: LOXIAS (***) & APOLO LICEU (***) & GLAUCOS (***)
& LUPERCALLES / LOBISOMENS (***)
E que é muito mais simples e mais dentro da lógica antes referida deduzir que a loucura sempre foi considerada como uma doença divina própria de lunáticos e então:
«Raiva» Lat. * rabia, por rabies < rauwies < Urki-ish, lit. «o mal da lua» => Raca[6] > aurki> rauk > Gr. lytta, ae, f., = lutta, a worm under a dog's tongue, said to cause madness, < lutta < lu(na)t(i)tu < Lat. lunaticus < *Lu-an-at > a(n)luado > «aluado»
> Luatico > Lau(h)ico > «louco»!!!
Quer dizer que nos fica a suspeita de, pelo menos duas coisas, em simultâneo:
1º Que a raiva, por ser uma doença de cães e de lobos, era considerada como uma forma de «loucura lunar», quiçá porque se tratava de animais sagrados desta deusa, na medida em que existe a crença generalizada de que estes animais uivam à lua nova!
2º Que esta «loucura lunar» estaria relacionada com a licantropia na medida em que já existiria a intuição de que a raiva se transmitia ao homem a partir dos seus próprios cães e tinha uma sintomatologia que facilmente poderia ser confundido com uma forma a loucura divina da epilepsia e ser fantasiada como uma espécie de esboço de transformação em lobisomem!
Pois bem, ousando ir ainda mais longe na divagação étmimológica poderíamos ir de Actaeon a Poseidon.
Actaeon < Aktaeon = *Ash Theon, para *Ash/at- => pot- > *posi)
=> Posideon > Poseidon.
Claro que se suspeita, pela análise funcional dos mitos, que Artemisa seria uma variante anatólica mais arcaica de Atena, e, então, também esta foi filha e esposa do deus dos mares, Poseidon entre os gregos clássicos, com o qual teria tido querelas e conflitos conjugais e mesmo graves divergências de política internacional.
No mito de Atenas temos mesmo a certeza de que a cidade de Atenas foi causa de uma disputa entre minóicos e micénicos que colocou Poseidon em pé de guerra com a sua amada filha Atena.
In the days of King Cecrops a dispute had arisen between her and Poseidon for the possession of Attica. To affirm his rights Poseidon struck the rock of the Acropolis with his trident and a salt water spring gushed forth. According to another tradition it was a horse which appeared under Poseidon's trident. Athena, in her turn, caused an olive tree to sprout on the Acropolis, a tree which could be seen in the time of Pericles, still alive in spite of having been burned by the Persians during the invasion of Xerxes. Asked to settle the dispute the Gods, on the evidence of Cecrops, pronounced in favor of Athena.
Então, é possível que o mito encubra uma arcaica e sanguinária versão em que as deusas mães matavam os machos dominantes quando estes se começavam a intrometer nas suas vidas privadas, ou seja, no início do patriarcado! Será isto que as estranhas e aterradoras imagens de Kali manifestam? O corpo morto sobre o qual Kali saliva de gula seria Kar, o próprio filho e marido, morto pelas suas próprias mãos? De qualquer modo, “o mito da morte de Acteião” seria uma espécie de lapso psicanalítico no qual Artemisa denegaria o sacrifício do filho ou do marido, disfarçando mal o sacrifício de Telepinus num rito primaveril de morte e ressurreição como evolução de outros mitos solares muito mais arcaicos onde haveria «sacrifícios humanos». A morte sacrificial do consorte real duma matriarca seria para alguns a explicação destes mitos de morte e ressurreição solar anual.
Seja como for este mito seria apenas uma versão macabra de tempos muito arcaicos em que Tiamat provocou a gigantomaquia, a primeira grande guerra entre os deuses. A versão mais humana e compungida viria a ser revelada nas variantes dos mitos das “dores de parto de Eos” e da cristianíssima Pieta.
Ver CANIBAL (***) & Ver: ATENA (***)
[1] 10 1Archias the Corinthian, being seized with love for Actaeon, first of all dispatched a messenger to the youth, making him marvellous promises; and when he was unable to win him over to act contrary to the honourable principles of his father and to the modesty of the youth himself, he gathered together the greater number of his associates, with the intention of using force on the youth who would not yield to favour or entreaty. 2 And finally once, when Archias had become drunken in the company of the men he had called together, his passion drove him to such madness that he broke into the house of Melissus and began to carry off the boy by force. 3 But the father and the other inmates of the house held fast to him, and in the violent struggle which ensued between the two groups the boy was found, without any knowing it, to have given up the ghost while in the arms of his defenders. Consequently, when we reflect upon the strange turn of the affair, we are forced both to pity the fate of the victim and to wonder at the unexpected reversal of fortune. For the boy came to the same manner of death as did he whose very name he bore, since they both lost their lives in similar manner at the hands of those who had aided them most. -- Diodorus Siculus Library of History, p383 Fragments of Book VIII.
[2] This Melissus had a son named Actaeon, the handsomest and most modest youth of his age, who had many lovers, chief of whom was Archias, of the family of the Heracleidae, in wealth and general influence the most outstanding man in Corinth. Now when he could not gain the boy by persuasion, he determined to carry him off by force. So he got together a crowd of friends and servants, went as in a drunken frolic to the house of Melissus, and tried to take the boy away. But his father and his friends resisted, the neighbours also ran out and pulled against the assailants, and so Actaeon was pulled to pieces and killed; the assailants thereupon went away. But Melissus took his son's body and exhibited it in the market-place of the Corinthians, demanding the punishment of the men who had done the deed; but the Corinthians merely pitied him and did nothing further. So, being unsuccessful, he went away and waited for the Isthmian festival, when he went up upon the temple of Poseidon, shouted accusations against the Bacchiadae, and reminded the people of his father Habron's benefactions, whereupon, calling upon the gods to avenge him, he threw himself down from the rocks. Not long afterwards the city was afflicted by drought and pestilence, and when the Corinthians consulted the oracle concerning relief, the god replied that the wrath of Poseidon would not relax until they inflicted punishment for the death of Actaeon. Archias knew of this, for he was himself one of those sent to consult the oracle, and voluntarily refrained from returning to Corinth. Instead he sailed to Sicily and founded Syracuse. There he became the father of two daughters, Ortygia and Syracusa, and was treacherously murdered by Telephus, who had been his beloved and had sailed with him to Sicily in command of a ship. -- Love Stories by Plutarch.
[3] 8th century B.C.; Neo-Assyrian period; Syrian style. Excavated at Fort Shalmaneser, Nimrud (ancient Kalhu), Mesopotamia. Rogers Fund, 1961 (59.107.6) The Metropolitan Museum of Art - The Collection: Ancient Near Eastern Art.
[4] Daniel - 'He of Harnan', a devotee of Rapiu (Baal) and a patriarchal king. Like Keret, Daniel is in mourning because unlike his brothers he had no sons. So, for several days he sacrificed food and drink to the gods. On the seventh day, Baal takes notice and successfully petitions El to allow Daniel and his wife, Danatay, to have a child, citing, among other reasons, that the child will be able to continue the contributions and sacrifices to their temples. El informs Daniel of his impending change of fortune. He rejoyces and slaughters an ox for the Kotharat, pouring sacrifices to them for six days and watching them depart on the seventh. During some missing columns, Danatay gives birth to Aqhat.
Daniel and Danatay hold a feast, inviting the god, and Daniel presents Aqhat with the bow reminding him to sacrifice the choices game to the gods. Later, Kothar-u-Khasis arrives with a specially crafted bow and arrows set for Aqhat.
The much anticipated child of Daniel and Danatay, Aqhat is presented with a bow and arrows set made by Kothar-and-Khasis early in his life by his father at a feast.
Aqhat - Daniel reminds him to take the best of his kills to the temple for the gods.
At the feast Anat offers Aqhat riches and eternal life if he would give her the bow.
[5] APPEARANCE OF WOMEN OF ANATOLIAN CIVILIZATIONS, Graphic design and HTML authoring copyright © Türknet
[6] Ver nos evangelhos a função terapêutica do nome mágico «raca» pronunciado por J. Cristo num dos seus milagres, suponho que no da cura do cego!
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